04/01/2011, 01:36
Bon avant toute chose c'est l'une des premières AVH que je lis et que je critique:
Ambiance:
Il est clair que j'ai aimé les évocations multiples au monde de HP Lovecraft:
Le Héraut des dieux, le Maître des Masques : Nyarlathotep est son évocation en "langue sanglante" plutôt bien rendue.
Le village de Kingwich qui est un mélange de Kingsport et Dunwich
La ville de Providence.
August (Derleth).
J'ai relevé des techniques horrifiques particulièrement intéressantes, qui fonctionnent bien:
- Ne pas forcément être maître de ces actes, surtout en pleine panique, comme au paragraphe 43, où un jet de Volonté détermine votre action, tout comme dans la « Créature venue du Chaos ».
- Le personnage en tant que victime, plutôt qu'en héros bardé d'acier: mal m’en prit d’avoir voulut sauver Rupert . De plus, la fuite, reste l'arme la plus efficace de ce héros (et ça c'est du tout bon, en terme d'horreur).
- Les PFA sont expéditifs! à la première mort, ont y réfléchit à 2 fois.
- Contrairement à d'autres critiques, les créatures semblent bien dégueux à souhait: boules de chairs avec des tentacules qui, pour moi, symbolisent les virus qui s'acharnent sur Sonia. Je pense que c'est la comparaison avec un cougar qui casse un peu le truc.
Structure
Je ne reviens pas sur l'erreur de renvoi, quand je retente une dose d'héroïsme (je suis obtus, Rupert ne m'a pas suffit!). Et s'il n'y a que ça, c'est loin d'être grave.
Style
J'ai eu plus l'impression de lire une nouvelle fantastique dans la veine du "Maître de Providence", avec (et ça c'est jouissif) la possibilité d'influer un peu sur le protagoniste!
Les paragraphes s'enchainent bien. Ce Transomnie flirte avec du Silent Hill.
Ambiance:
Il est clair que j'ai aimé les évocations multiples au monde de HP Lovecraft:
Le Héraut des dieux, le Maître des Masques : Nyarlathotep est son évocation en "langue sanglante" plutôt bien rendue.
Le village de Kingwich qui est un mélange de Kingsport et Dunwich
La ville de Providence.
August (Derleth).
J'ai relevé des techniques horrifiques particulièrement intéressantes, qui fonctionnent bien:
- Ne pas forcément être maître de ces actes, surtout en pleine panique, comme au paragraphe 43, où un jet de Volonté détermine votre action, tout comme dans la « Créature venue du Chaos ».
- Le personnage en tant que victime, plutôt qu'en héros bardé d'acier: mal m’en prit d’avoir voulut sauver Rupert . De plus, la fuite, reste l'arme la plus efficace de ce héros (et ça c'est du tout bon, en terme d'horreur).
- Les PFA sont expéditifs! à la première mort, ont y réfléchit à 2 fois.
- Contrairement à d'autres critiques, les créatures semblent bien dégueux à souhait: boules de chairs avec des tentacules qui, pour moi, symbolisent les virus qui s'acharnent sur Sonia. Je pense que c'est la comparaison avec un cougar qui casse un peu le truc.
Structure
Je ne reviens pas sur l'erreur de renvoi, quand je retente une dose d'héroïsme (je suis obtus, Rupert ne m'a pas suffit!). Et s'il n'y a que ça, c'est loin d'être grave.
Style
J'ai eu plus l'impression de lire une nouvelle fantastique dans la veine du "Maître de Providence", avec (et ça c'est jouissif) la possibilité d'influer un peu sur le protagoniste!
Les paragraphes s'enchainent bien. Ce Transomnie flirte avec du Silent Hill.