Fini ! Il m'aura fallu quatre tentatives pour arriver au 100. Je suis mort de la même façon les deux premières fois et j'ai essuyé un troisième échec alors que je commençais à approcher de la fin.
Une petite remarque purement technique avant tout : il y a une erreur dans le paragraphe 3, où les huit premières lignes sont répétées. Je n'ai rien remarqué d'autre.
Transomnie est une oeuvre qui flirte clairement avec Lovecraft, mais ne tombe pas dans les pièges possibles de l'hommage trop appuyé. Le titre laissait deviner assez clairement que l'aventure aurait un caractère nettement onirique. Le rêve présente un caractère plus réaliste que ce que j'anticipais, mais j'ai trouvé ça plutôt intéressant et original en fin de compte. Le caractère onirique se manifeste par des éléments subtils, tels que l'apparition/la disparition subite de personnages, le fait que des lieux que nous connaissons nous apparaissent légèrement différents, le passage rapide du temps, des déclarations énigmatiques, etc.
J'ai trouvé intéressant le personnage que nous incarnons. L'effroi et le dégoût qu'il ne peut s'empêcher de ressentir en observant la maladie de sa femme sont une note réaliste que j'ai apprécié. Les autres personnages (essentiellement oniriques) jouent bien leur rôle dans l'histoire. L'atmosphère est bien mise en scène, comme il convient au genre.
Le scénario global n'est pas clair mais ce n'est pas un défaut pour ce type d'histoire, qui perdrait en efficacité à vouloir trop en révéler. Le mystère persistant est un élément inhabituel dans une AVH, mais je trouve en fin de compte qu'il fonctionne pas mal. La fin est originale, appropriée et indéniablement surprenante.
En ce qui concerne le système de jeu, il trouve un bon équilibre entre la simplicité et le détail. Les jets de dés du départ peuvent sans doute rendre l'aventure substantiellement plus facile ou plus difficile (la vitalité et la santé mentale peuvent varier presque du simple au double), mais ça ne m'est pas apparu comme un réel problème.
Une petite remarque purement technique avant tout : il y a une erreur dans le paragraphe 3, où les huit premières lignes sont répétées. Je n'ai rien remarqué d'autre.
Transomnie est une oeuvre qui flirte clairement avec Lovecraft, mais ne tombe pas dans les pièges possibles de l'hommage trop appuyé. Le titre laissait deviner assez clairement que l'aventure aurait un caractère nettement onirique. Le rêve présente un caractère plus réaliste que ce que j'anticipais, mais j'ai trouvé ça plutôt intéressant et original en fin de compte. Le caractère onirique se manifeste par des éléments subtils, tels que l'apparition/la disparition subite de personnages, le fait que des lieux que nous connaissons nous apparaissent légèrement différents, le passage rapide du temps, des déclarations énigmatiques, etc.
J'ai trouvé intéressant le personnage que nous incarnons. L'effroi et le dégoût qu'il ne peut s'empêcher de ressentir en observant la maladie de sa femme sont une note réaliste que j'ai apprécié. Les autres personnages (essentiellement oniriques) jouent bien leur rôle dans l'histoire. L'atmosphère est bien mise en scène, comme il convient au genre.
Le scénario global n'est pas clair mais ce n'est pas un défaut pour ce type d'histoire, qui perdrait en efficacité à vouloir trop en révéler. Le mystère persistant est un élément inhabituel dans une AVH, mais je trouve en fin de compte qu'il fonctionne pas mal. La fin est originale, appropriée et indéniablement surprenante.
En ce qui concerne le système de jeu, il trouve un bon équilibre entre la simplicité et le détail. Les jets de dés du départ peuvent sans doute rendre l'aventure substantiellement plus facile ou plus difficile (la vitalité et la santé mentale peuvent varier presque du simple au double), mais ça ne m'est pas apparu comme un réel problème.