29/11/2006, 21:58
Pour moi ça dépend des séries.
Les combats des DF sont assez ennuyeux car tous les coups ou presque font les mêmes dégats (un dragon frappe aussi fort qu'un rat). La seule différence étant la probabilité de frapper (c'est à dire l'Habileté). Je zappe souvent ces combats.
Pour Loup Solitaire c'est un peu mieux puisque les dégats peuvent varier, le problème est que les combats sont souvent infaisables. Pour la Quête du Graal c'est pareil et il en résulte des combats agréables dans lesquels on peut s'immaginer les coups portés.
Le système de Loup* Ardent est trop rébarbatif (nécessité d'utiliser une calculette ou de poser les opérations) ce qui nuit à l'intérêt des combats.
Sinon il semblerait que le système des Chroniques Crétoises soit pas mal et plus réaliste (un coup blesse dans le sens courant du terme, pas dans le sens d'une banale perte de PV)
Mais un autre facteur qui rentre en compte est bien sûr le moment où se situe le combat. Un combat au moment opportun sera toujours plus agréable qu'un combat rajouté là pour le plaisir par l'auteur.
Les combats des DF sont assez ennuyeux car tous les coups ou presque font les mêmes dégats (un dragon frappe aussi fort qu'un rat). La seule différence étant la probabilité de frapper (c'est à dire l'Habileté). Je zappe souvent ces combats.
Pour Loup Solitaire c'est un peu mieux puisque les dégats peuvent varier, le problème est que les combats sont souvent infaisables. Pour la Quête du Graal c'est pareil et il en résulte des combats agréables dans lesquels on peut s'immaginer les coups portés.
Le système de Loup* Ardent est trop rébarbatif (nécessité d'utiliser une calculette ou de poser les opérations) ce qui nuit à l'intérêt des combats.
Sinon il semblerait que le système des Chroniques Crétoises soit pas mal et plus réaliste (un coup blesse dans le sens courant du terme, pas dans le sens d'une banale perte de PV)
Mais un autre facteur qui rentre en compte est bien sûr le moment où se situe le combat. Un combat au moment opportun sera toujours plus agréable qu'un combat rajouté là pour le plaisir par l'auteur.
Fléau des artificiers, les atogs, créatures légendaires, dévoraient des outils complexes afin de favoriser leur croissance bizarre.