30/07/2009, 07:52
J’ai lu « les mendiants de Port-Du-Sable-Noir » et j’ai passé un bon moment. Tout d’abord, un grand merci à CEBA pour la traduction !
Au niveau des points forts, je retiens :
- Très bonne construction de l’ouvrage avec une gestion du temps bien menée, tout en donnant pas mal de latitude au joueur.
- Difficulté bien dosée (j’ai perdu une fois = PFA en voulant me renseigner à la guilde sans avoir assez d’or ; ensuite j’ai terminé via la fin du §10). Pour les amateurs de défi, il y a une autre fin très ardue à trouver.
- Les personnes rencontrées sont assez charismatiques je trouve.
Ce qui m’a moins plu :
- C’est trop court !
- Présence trop forte de mysticisme à mon goût (= gemme, diablotin fantôme dans une demeure, sans oublier « madame star »).
- J’aurais aimé des descriptions plus poussées des lieux, afin d’étoffer un peu l’atmosphère.
- Bien que Sable-Noir soit décrit comme une ville en désuétude, on dirait que l’or ne manque pas (il suffit de mendier une journée pour s’offrir une arme potable ; d'ailleurs j'imagine mal quelqu'un donner de la thune dans cette cité: l'or est sans doute rare, et surtout un don attirerait la convoitise des malfrats en tout genre qu'on peut croiser).
- Si on ne trouve pas un certain objet noyé au milieu d’autres, on passe à côté d’informations sur le passé du héros, et on termine donc en ayant plein de mystères non résolus (pour moi c’est un défaut, du coup j’ai triché copieusement pour éclaircir tout ça, mais avis aux amateurs).
Pour terminer, un petit parallèle avec « Ténèbres sur Sable-Noir », l’AVH entamée par Meneldur : on trouve ici aussi un système de flashbacks, au temps de la gloire du héros (sauf qu’ici, ces flashbacks sont vécus passivement). La ville et surtout le héros m’ont paru légèrement moins sombres, moins glauques, ce que je regrette un peu : je préférais la vision de Dudur.
Enfin, CEBA, je t’indique la seule faute que j’ai pu me mettre sous la dent : §53 : « onguent que vous donnerez plus tard ». Il y a aussi le titre, qui me paraît bizarre (pourquoi pas « les mendiants du Port de Sable-Noir » ?). En tout cas, bravo encore pour le boulot !
Au niveau des points forts, je retiens :
- Très bonne construction de l’ouvrage avec une gestion du temps bien menée, tout en donnant pas mal de latitude au joueur.
- Difficulté bien dosée (j’ai perdu une fois = PFA en voulant me renseigner à la guilde sans avoir assez d’or ; ensuite j’ai terminé via la fin du §10). Pour les amateurs de défi, il y a une autre fin très ardue à trouver.
- Les personnes rencontrées sont assez charismatiques je trouve.
Ce qui m’a moins plu :
- C’est trop court !
- Présence trop forte de mysticisme à mon goût (= gemme, diablotin fantôme dans une demeure, sans oublier « madame star »).
- J’aurais aimé des descriptions plus poussées des lieux, afin d’étoffer un peu l’atmosphère.
- Bien que Sable-Noir soit décrit comme une ville en désuétude, on dirait que l’or ne manque pas (il suffit de mendier une journée pour s’offrir une arme potable ; d'ailleurs j'imagine mal quelqu'un donner de la thune dans cette cité: l'or est sans doute rare, et surtout un don attirerait la convoitise des malfrats en tout genre qu'on peut croiser).
- Si on ne trouve pas un certain objet noyé au milieu d’autres, on passe à côté d’informations sur le passé du héros, et on termine donc en ayant plein de mystères non résolus (pour moi c’est un défaut, du coup j’ai triché copieusement pour éclaircir tout ça, mais avis aux amateurs).
Pour terminer, un petit parallèle avec « Ténèbres sur Sable-Noir », l’AVH entamée par Meneldur : on trouve ici aussi un système de flashbacks, au temps de la gloire du héros (sauf qu’ici, ces flashbacks sont vécus passivement). La ville et surtout le héros m’ont paru légèrement moins sombres, moins glauques, ce que je regrette un peu : je préférais la vision de Dudur.
Enfin, CEBA, je t’indique la seule faute que j’ai pu me mettre sous la dent : §53 : « onguent que vous donnerez plus tard ». Il y a aussi le titre, qui me paraît bizarre (pourquoi pas « les mendiants du Port de Sable-Noir » ?). En tout cas, bravo encore pour le boulot !