16/07/2009, 01:06
Je pense que Livingstone enflamme davantage les opinions parce que c'est l'un des deux fondateurs des DF (et par extension des LDVH qui ont suivi). Il symbolise certaines tendances qu'on retrouve dans le genre tout entier et qui peuvent fortement déplaire.
En tant que pionnier, il est indubitable qu'il a joué un rôle plus important que la quasi-totalité des autres auteurs, même lorsqu'on les lui préfère nettement au niveau du style, de l'histoire ou de la structure.
Mais si on fait abstraction de ce rôle fondateur (ce qui me semble nécessaire pour ce concours), ce n'est pas un auteur dont je goûte beaucoup les oeuvres. Il a écrit des LDVH distrayants mais aussi quelques-uns qui compte parmi les pires de la série. Ses histoires, ses personnages et ses atmosphères (trois points auxquels j'attache beaucoup d'importance) sont franchement médiocres. Je n'apprécie guère sa manière de structurer ses LDVH (notamment le genre "est-ce que vous ouvrez la porte ou est-ce que vous poursuivez votre chemin ?"). La grande difficulté ne fait qu'accroître la frustration du lecteur (alors que je la tolère chez des auteurs comme Jackson ou Mason, parce que je prends plaisir à lire ce qu'ils me racontent).
En tant que pionnier, il est indubitable qu'il a joué un rôle plus important que la quasi-totalité des autres auteurs, même lorsqu'on les lui préfère nettement au niveau du style, de l'histoire ou de la structure.
Mais si on fait abstraction de ce rôle fondateur (ce qui me semble nécessaire pour ce concours), ce n'est pas un auteur dont je goûte beaucoup les oeuvres. Il a écrit des LDVH distrayants mais aussi quelques-uns qui compte parmi les pires de la série. Ses histoires, ses personnages et ses atmosphères (trois points auxquels j'attache beaucoup d'importance) sont franchement médiocres. Je n'apprécie guère sa manière de structurer ses LDVH (notamment le genre "est-ce que vous ouvrez la porte ou est-ce que vous poursuivez votre chemin ?"). La grande difficulté ne fait qu'accroître la frustration du lecteur (alors que je la tolère chez des auteurs comme Jackson ou Mason, parce que je prends plaisir à lire ce qu'ils me racontent).