30/03/2009, 11:39
J’ai commencé ces deux nouvelles aventures par La Voleuse de Langal ; La Montagne interdite est la prochaine sur ma liste mais avant de m’y attaquer je vais me fendre d’un rapide commentaire sur le premier (?) tome.
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé. C’est une excellente introduction aux règles et à l’ambiance des séries Défis fantastiques et Sorcellerie ! Cette dernière est l’une de mes favorites et c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé les fameuses formules magiques. Pour le plaisir, j’avais décidé de ne me fier qu’à mes souvenirs d’adolescent pour jouer l’aventure en tant que sorcier, mais n’ayant pas eu l’occasion de lancer autre chose que les sorts de base, l’expérience n’a pas été très concluante.
En revanche, j’ai lu les règles en entier afin de voir les modifications apportées au texte original. J’ai vraiment beaucoup apprécié les ajouts à la feuille d’aventure, notamment la case pour compter les repas pris au cours d’une journée. C’est tout bête mais c’est bien pratique. J’ai d’ailleurs trouvé la règle de gestion des repas plutôt bien pensée. Certains passages un peu obscurs n’ont pas été modifiés, dommage. Je pense à la fameuse règle qui dit que les totaux de départ ne peuvent être dépassés, alors qu’il est précisé plus loin qu’une épée magique peut conférer un bonus d’habileté à son porteur. Il aurait été bon, à mon sens, de préciser que les bonus conférés par les armes s’appliquent à la force d’attaque et non à l’habileté.
Ayant tiré 8-24-7 aux dés, je me suis retrouvé systématiquement malchanceux mais mon score d’endurance s’est vite révélé idéal pour un sorcier limité aux sorts de base et à la perte de quatre points d’endurance qu’ils entrainent à chaque utilisation. En parlant de ça, l’introduction ne précise rien quant à notre qualité éventuelle de sorcier, ce qui créé un décalage un peu bizarre. À la lecture de l’intro, on s’imagine plus dans la peau du Petit Chaperon rouge que dans celle d’un sorcier (ou d’un guerrier). L’histoire aurait gagné en cohérence si le personnage qu’on incarne avait été un peu plus développé, je pense.
L’aventure en elle même est évidemment courte, mais passe bien en revue les différents aspects qu’on retrouve dans les Sorcellerie ! La magie m’a ainsi servi à éviter deux combats et à affaiblir le boss de fin lors du seul combat — épique — que j’ai eu à mener, et qui m’a laissé avec deux points d’endurance ! Les repas m’ont, eux, permis de récupérer les points d’endurance perdus par la magie. L’exploration des couloirs donne un petit aperçu du genre initié par Le Sorcier de la montagne de feu. Bref, pour un novice, c’est un premier contact assez agréable, une sorte de résumé des classiques du genre, jusque dans l’illustration finale de la voleuse, assez cliché ai je trouvé, et qui m’a fait sourire.
Pour terminer, quelques petites fautes repérées au fil de la lecture :
— « Que vous ayez choisi d'être un Guerrier ou un Sorcier, l'aventure qui vous attend sera extrêmement préilleuse » (dans les règles) : « périlleuse » ;
— « A cours de votre aventure, vous aurez probablement l'occasion de vous procurer d'autres Provisions à ajouter à votre stock » (également dans les règles) : « au cours » ;
— « Néanmoins, vous ne pourrez jamais transporter plus de douze équivalents repas dans votre Sac à Dos » (toujours dans les règles) : le « équivalents » est bizarre ;
— « (…) elle vous préviens de sa voie douce » (paragraphe 15) : « prévient » et « voix » ;
— « Vous ne pouvez vous empêcher d'avoir le sourire aux lèvres en pensant à la bonne affaire que vous avez finalement réalisé » (paragraphe 50) : « réalisée ».
Dans l’ensemble, j’ai bien aimé. C’est une excellente introduction aux règles et à l’ambiance des séries Défis fantastiques et Sorcellerie ! Cette dernière est l’une de mes favorites et c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé les fameuses formules magiques. Pour le plaisir, j’avais décidé de ne me fier qu’à mes souvenirs d’adolescent pour jouer l’aventure en tant que sorcier, mais n’ayant pas eu l’occasion de lancer autre chose que les sorts de base, l’expérience n’a pas été très concluante.
En revanche, j’ai lu les règles en entier afin de voir les modifications apportées au texte original. J’ai vraiment beaucoup apprécié les ajouts à la feuille d’aventure, notamment la case pour compter les repas pris au cours d’une journée. C’est tout bête mais c’est bien pratique. J’ai d’ailleurs trouvé la règle de gestion des repas plutôt bien pensée. Certains passages un peu obscurs n’ont pas été modifiés, dommage. Je pense à la fameuse règle qui dit que les totaux de départ ne peuvent être dépassés, alors qu’il est précisé plus loin qu’une épée magique peut conférer un bonus d’habileté à son porteur. Il aurait été bon, à mon sens, de préciser que les bonus conférés par les armes s’appliquent à la force d’attaque et non à l’habileté.
Ayant tiré 8-24-7 aux dés, je me suis retrouvé systématiquement malchanceux mais mon score d’endurance s’est vite révélé idéal pour un sorcier limité aux sorts de base et à la perte de quatre points d’endurance qu’ils entrainent à chaque utilisation. En parlant de ça, l’introduction ne précise rien quant à notre qualité éventuelle de sorcier, ce qui créé un décalage un peu bizarre. À la lecture de l’intro, on s’imagine plus dans la peau du Petit Chaperon rouge que dans celle d’un sorcier (ou d’un guerrier). L’histoire aurait gagné en cohérence si le personnage qu’on incarne avait été un peu plus développé, je pense.
L’aventure en elle même est évidemment courte, mais passe bien en revue les différents aspects qu’on retrouve dans les Sorcellerie ! La magie m’a ainsi servi à éviter deux combats et à affaiblir le boss de fin lors du seul combat — épique — que j’ai eu à mener, et qui m’a laissé avec deux points d’endurance ! Les repas m’ont, eux, permis de récupérer les points d’endurance perdus par la magie. L’exploration des couloirs donne un petit aperçu du genre initié par Le Sorcier de la montagne de feu. Bref, pour un novice, c’est un premier contact assez agréable, une sorte de résumé des classiques du genre, jusque dans l’illustration finale de la voleuse, assez cliché ai je trouvé, et qui m’a fait sourire.
Pour terminer, quelques petites fautes repérées au fil de la lecture :
— « Que vous ayez choisi d'être un Guerrier ou un Sorcier, l'aventure qui vous attend sera extrêmement préilleuse » (dans les règles) : « périlleuse » ;
— « A cours de votre aventure, vous aurez probablement l'occasion de vous procurer d'autres Provisions à ajouter à votre stock » (également dans les règles) : « au cours » ;
— « Néanmoins, vous ne pourrez jamais transporter plus de douze équivalents repas dans votre Sac à Dos » (toujours dans les règles) : le « équivalents » est bizarre ;
— « (…) elle vous préviens de sa voie douce » (paragraphe 15) : « prévient » et « voix » ;
— « Vous ne pouvez vous empêcher d'avoir le sourire aux lèvres en pensant à la bonne affaire que vous avez finalement réalisé » (paragraphe 50) : « réalisée ».