20/11/2008, 20:14
Cela faisait un moment que je n'avais plus découvert de nouveau LDVH, mais un torrent de DF s'est récemment abattu sur moi et me donne l'espoir de finalement lire les quelques livres de la série qui me sont restés inconnus jusqu'ici. Comme il faut bien commencer quelque part, j'ai décidé de me lancer dans Le Voleur de Vie.
A ne pas confondre avec Le Voleur d'Ames (le moins bon bouquin de Keith Martin à mon avis), Le Voleur de Vie est l'oeuvre de.... Robin Waterfield ??!!! Oulala, est-ce que je n'aurais pas plutôt dû essayer La Planète Rebelle ? (Ah non, tiens, c'est de lui aussi. Je suis cerné par Robin Waterfield.)
Le début est plutôt rigolo. On est en train de se remettre de nos dernières aventures en pêchant des perles dans des eaux infestées de requins (quand on est un héros, on ne va pas juste glander une semaine à la campagne, non monsieur !) lorsque le roi Machin nous envoie chercher de toute urgence parce qu'on lui a enlever sa fille. Et là, gag : on arrive trop tard ! Angoissé par le sort de sa fille, le couple royal a confié la mission à notre ennemi juré Fang-Zen. FANG-ZEEEEEN !!!! Bref, c'est un début qui nous change agréablement des missions ordinaires qui nous sont soigneusement réservées comme si personne d'autre au monde n'avait le moindre espoir de les accomplir. Tiens, Robin, mon gars, voilà un bon point pour toi ! On peut se demander pourquoi les monarques préfèrent laisser la moitié de leur royaume à Fang-Zen que de payer la rançon, mais ne pinaillons pas.
Au premier paragraphe, on a un choix à faire et c'est là qu'on retrouve la patte de Waterfield : l'une des deux destinations est un PFA. Bon, Robin, tu me rends le bon point.
Bon, alors je recommence la partie, je vais évidemment à l'autre paragraphe. Nouveau choix et nouveau PFA !!! Si on n'a pas obtenu un certain objet (dont on n'a aucune raison de soupçonner la présence), on est soudain frappé par la certitude qu'on a aucune chance de mener cette aventure à bien. C'est subtil. Très subtil.
La suite immédiate paraît plus prometteuse... mais c'est une promesse que le livre ne tarde pas à démentir, infligeant au lecteur une succession de monstres et de rencontres banales, dans un style pauvre et une atmosphère inexistante. Sacré Robin, je ne sais pas comment il m'est venu à l'esprit qu'un de ses livres pourrait me plaire.
Et puis zut ! je laisse tomber règles et cohérence pour tout lire n'importe comment et ma lecture me confirme dans ce choix : multitude de PFA aussi laconiques les uns que les autres, paragraphe de victoire grotesquement bref (si Robin manquait tellement de place, il aurait pu se permettre de réduire un peu l'intro) et, de façon générale, rien d'intéressant.
A ne pas confondre avec Le Voleur d'Ames (le moins bon bouquin de Keith Martin à mon avis), Le Voleur de Vie est l'oeuvre de.... Robin Waterfield ??!!! Oulala, est-ce que je n'aurais pas plutôt dû essayer La Planète Rebelle ? (Ah non, tiens, c'est de lui aussi. Je suis cerné par Robin Waterfield.)
Le début est plutôt rigolo. On est en train de se remettre de nos dernières aventures en pêchant des perles dans des eaux infestées de requins (quand on est un héros, on ne va pas juste glander une semaine à la campagne, non monsieur !) lorsque le roi Machin nous envoie chercher de toute urgence parce qu'on lui a enlever sa fille. Et là, gag : on arrive trop tard ! Angoissé par le sort de sa fille, le couple royal a confié la mission à notre ennemi juré Fang-Zen. FANG-ZEEEEEN !!!! Bref, c'est un début qui nous change agréablement des missions ordinaires qui nous sont soigneusement réservées comme si personne d'autre au monde n'avait le moindre espoir de les accomplir. Tiens, Robin, mon gars, voilà un bon point pour toi ! On peut se demander pourquoi les monarques préfèrent laisser la moitié de leur royaume à Fang-Zen que de payer la rançon, mais ne pinaillons pas.
Au premier paragraphe, on a un choix à faire et c'est là qu'on retrouve la patte de Waterfield : l'une des deux destinations est un PFA. Bon, Robin, tu me rends le bon point.
Bon, alors je recommence la partie, je vais évidemment à l'autre paragraphe. Nouveau choix et nouveau PFA !!! Si on n'a pas obtenu un certain objet (dont on n'a aucune raison de soupçonner la présence), on est soudain frappé par la certitude qu'on a aucune chance de mener cette aventure à bien. C'est subtil. Très subtil.
La suite immédiate paraît plus prometteuse... mais c'est une promesse que le livre ne tarde pas à démentir, infligeant au lecteur une succession de monstres et de rencontres banales, dans un style pauvre et une atmosphère inexistante. Sacré Robin, je ne sais pas comment il m'est venu à l'esprit qu'un de ses livres pourrait me plaire.
Et puis zut ! je laisse tomber règles et cohérence pour tout lire n'importe comment et ma lecture me confirme dans ce choix : multitude de PFA aussi laconiques les uns que les autres, paragraphe de victoire grotesquement bref (si Robin manquait tellement de place, il aurait pu se permettre de réduire un peu l'intro) et, de façon générale, rien d'intéressant.