13/11/2008, 22:38
Un rare film où j'ai senti une satisfaction car j'ai ressenti les impacts psychologiques. Cela me fait toujours gausser d'entendre parler de "profondeur psychologique" dans les films alors que je trouve cela souvent pâle.
A ma grande surprise, c'est Batman qui prend le flambeau. Jamais je n'ai senti un personnage avoir autant de doute, quant à son identité, son rôle, ses droits. Tous les personnages sont carrés, les scènes incroyables et criantes. Je regrette que Double-Face n'ait vécu qu'une partie du film. Visiblement, Nolan voulait que son troisième Batman tourne autour de lui, et vu la profondeur du film, je l'aurai mis sur un piédestal.
Beaucoup de gens ont décrié le décor de Gotham. Certes, celui dépeint par Burton, certainement proche du comics, est mémorable, mais cela ne me choque pas plus. Gotham est Gotham (Gotham est New York) ; sur des rôles où j'ai trouvé Christian Bale navrant, il a été très convaincant sur ce rôle ; je ne parle pas de Ledger.
C'est un film qui mérite d'être vu, revu, et applaudi encore.
A ma grande surprise, c'est Batman qui prend le flambeau. Jamais je n'ai senti un personnage avoir autant de doute, quant à son identité, son rôle, ses droits. Tous les personnages sont carrés, les scènes incroyables et criantes. Je regrette que Double-Face n'ait vécu qu'une partie du film. Visiblement, Nolan voulait que son troisième Batman tourne autour de lui, et vu la profondeur du film, je l'aurai mis sur un piédestal.
Beaucoup de gens ont décrié le décor de Gotham. Certes, celui dépeint par Burton, certainement proche du comics, est mémorable, mais cela ne me choque pas plus. Gotham est Gotham (Gotham est New York) ; sur des rôles où j'ai trouvé Christian Bale navrant, il a été très convaincant sur ce rôle ; je ne parle pas de Ledger.
C'est un film qui mérite d'être vu, revu, et applaudi encore.
Il ne faut pas attendre d'être heureux pour sourire... il faut sourire pour être heureux.