19/06/2008, 02:22
Bon, maintenant que j'ai (posthumement) réglé son compte à Jordan, je vais tout de même participer un peu à ce débat-ci !
La plupart des LDVH de fantasy ressemblent, à mon avis, aux romans d'héroïc-fantasy qui s'écrivaient à une certaine époque. De nos jours, une héroïne guerrière à la Xéna n'a strictement rien d'étonnant. Mais, il y a quelques décennies, les femmes qu'on trouvait dans l'héroic-fantasy se limitaient souvent à des rôles de donzelles en détresse et les héroïnes étaient franchement exceptionnelles. Je ne saurais pas dire quand le tournant s'est amorcé, mais la grande majorité des LDVH a visiblement oublié de le prendre.
Il y a des séries qui ont des personnages féminins intéressants, comme "La voie du tigre" ou "L'épée de légende", mais ils ne vont pas jusqu'à la parité pour autant.
Incarner le-héros-qui-combat-les-forces-du-mal exerce à mon avis moins d'attrait sur le public féminin que masculin... mais je ne prétends pas que cette opinion s'appuie sur autre chose qu'une méthode du genre doigt mouillé tenu en l'air.
Comme JFD, je pense qu'il y a des genres à développer. L'héroïc-fantasy classique est, au fond, très limitée (ce n'est qu'une branche étroite de la fantasy dans son ensemble). Des cadres plus modernes et des enjeux autre que la-lutte-du-bien-contre-le-mal pourraient attirer davantage les lectrices.
La plupart des LDVH de fantasy ressemblent, à mon avis, aux romans d'héroïc-fantasy qui s'écrivaient à une certaine époque. De nos jours, une héroïne guerrière à la Xéna n'a strictement rien d'étonnant. Mais, il y a quelques décennies, les femmes qu'on trouvait dans l'héroic-fantasy se limitaient souvent à des rôles de donzelles en détresse et les héroïnes étaient franchement exceptionnelles. Je ne saurais pas dire quand le tournant s'est amorcé, mais la grande majorité des LDVH a visiblement oublié de le prendre.
Il y a des séries qui ont des personnages féminins intéressants, comme "La voie du tigre" ou "L'épée de légende", mais ils ne vont pas jusqu'à la parité pour autant.
Incarner le-héros-qui-combat-les-forces-du-mal exerce à mon avis moins d'attrait sur le public féminin que masculin... mais je ne prétends pas que cette opinion s'appuie sur autre chose qu'une méthode du genre doigt mouillé tenu en l'air.
Comme JFD, je pense qu'il y a des genres à développer. L'héroïc-fantasy classique est, au fond, très limitée (ce n'est qu'une branche étroite de la fantasy dans son ensemble). Des cadres plus modernes et des enjeux autre que la-lutte-du-bien-contre-le-mal pourraient attirer davantage les lectrices.