[Traduisons] L'Étranger (Outsider!)
Deux contre un pour la porte.

378 a écrit :Vous voici sans une pièce complètement vide... à l'exception des quatres ZOMBIES qui gardent une porte dans le mur de gauche. Les deux premiers sont désarmés. Vêtus de hâillons, ils ont le dos voûté et la mâchoire pendante. Les deux autres, visiblement mieux réanimés, se tiennent bien droit, portent une armure en cuir et brandissent une épée courte.

Vous vous demandez qui peut bien être gardé par ces morts-vivants et une hypothèse séduisante vous vient à l'esprit.

Vous vous jetez aussitôt sur les deux premiers zombies. Les deux autres restent en retrait, contemplant l'affrontement avec une étrange lueur d'intelligence dans le regard.

ZOMBIE DE TROISIÈME CLASSE HABILETÉ 6 ENDURANCE 6
ZOMBIE DE TROISIÈME CLASSE HABILETÉ 6 ENDURANCE 6

Bon, vus les chiffres, je pense que ce n'est pas la peine de vous demander si vous avez besoin d'élaborer une stratégie spécifique.

Tour 1. 3 et 4 pour Aria, 1 et 1 pour Zombie 1, 6 et 4 pour Zombie 2. Aria tranche le bras gauche du zombie de gauche (4 PE, 6 PE).
Tour 2. 2 et 2, 2 et 3, 3 et 1. Aria tranche le bras droit du zombie de gauche (2 PE, 6 PE).
Tour 3. 2 et 5, 2 et 3, 2 et 6. Aria tranche la tête du zombie de gauche (0 PE, 6 PE).
Tour 4. 1 et 5, 1 et 6. Aria tranche le bras gauche du zombie de droite (4 PE).
Tour 5. 3 et 6, 2 et 1. Aria tranche le bras droit du zombie de droite (2 PE).
Tour 6. 6 et 1, 6 et 3. Aria tranche la tête du zombie de droite (0 PE).

1007 a écrit :Une fois leurs camarades vaincus, les deux autres morts-vivants s'avancent. Ils sont non seulement mieux équipés, mais aussi plus vifs et plus rusés.

ZOMBIE DE DEUXIÈME CLASSE HABILETÉ 7 ENDURANCE 7
ZOMBIE DE DEUXIÈME CLASSE HABILETÉ 7 ENDURANCE 7

Ben oui, j'avais pas encore lancé suffisamment de dés aujourd'hui. -_-

Tour 1. 1 et 6, 4 et 6, 4 et 6. Effectivement, ces zombies sont plus vifs ! Mais Aria reste plus vif qu'eux et commence son travail de découpe (5 PE, 7 PE).
Tour 2. 4 et 6, 6 et 4, 6 et 4. L'assassin commence à transpirer un peu : même s'ils ne sont clairement pas à la hauteur, ils sont coriaces (3 PE, 7 PE).
Tour 3. 5 et 6, 2 et 4, 2 et 5. Aria sort un numéro de haute volée et parvient presque à décapiter l'un de ses deux adversaires (1 PE, 7 PE).
Tour 4. 2 et 5, 4 et 3, 4 et 6. Cette fois, c'est la bonne (0 PE, 7 PE).
Tour 5. 5 et 2, 3 et 3. Il commence à y avoir beaucoup de morceaux de zombie par terre, mais ça ne perturbe pas trop l'assassin (5 PE).
Tour 6. 5 et 6, 5 et 5. Le geste de tranchage répétitif commence à donner un peu mal au coude à Aria (3 PE).
Tour 7. 5 et 1, 2 et 6. L'esprit ailleurs, il se demande s'il n'aurait pas mieux fait de prendre un hachoir plutôt qu'une épée (1 PE).
Tour 8. 3 et 5, 5 et 3. Enfin, l'épée ça marche bien aussi (0 PE).

1008 a écrit :Sans prendre la peine de rengainer ni même d'essuyer votre arme, vous enjambez les cadavres de vos adversaires pour ouvrir la porte et bondir de l'autre côté.

190 a écrit :Vous voici dans une pièce décorée avec luxe. Face à vous se trouve Fiorentino, assis à un bureau. En vous voyant débouler, il laisse échapper un cri d'effroi.

Vous apercevez un Zombie en armure de plates debout contre le mur du fond. Ses yeux à moitié décomposés s'étrécissent en vous voyant, mais il ne bouge pas. Votre regard se pose brièvement sur lui avant de revenir sur Fiorentino.

Du moins, vous supposez qu'il s'agit de lui, ne serait-ce que parce qu'il s'agit du seul être humain que vous ayez croisé dans ces tunnels. Pourtant, il n'a pas l'air d'un nécromancien ; il ressemble davantage à une sorte de dandy, à en juger par ses habits colorés (il a même des épaulettes !). Il n'a pas non plus l'air assez vieux pour être votre père. Il a les cheveux longs et noirs et la silhouette mince des gens qui ne se sont jamais salis les mains au travail. Encore qu'il arbore des cernes profondes autour des yeux, le teint jaunâtre, et l'odeur de la mort lui colle à la peau...

« Euh... bonjour ? balbutie-t-il. Je... Je suis Fiorentino. » Voilà qui répond à votre question. « Je ne suis pas sûr de savoir qui vous êtes, ce doit, euh, il doit y avoir une erreur ? »

« Non, y a pas d'erreur », sifflez-vous.

Allez-vous le tuer ou l'accuser d'être votre père ?
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On le tue, on pourra toujours vérifier si c'était notre père ou non après.
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L'accuser.

On n'a accepté ce contrat sur sa tête que pour réussir à le trouver, rien de plus. Notre but est de mener l'enquête sur les hommes qui pourraient être notre père. On n'a rien à gagner à le tuer, à part de l'argent (et on roule déjà sur l'or).
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Bon, j'arrive pour trancher... Hmmm... A première vue notre nécromancien n'est pas très agressif... Étrange.
On l'accuse pour voir.
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297 a écrit :Ses yeux manquent de lui sortir de la tête.

« Fichtre, fichtre, oh là là. Eh bien, jeune homme. Qui l'aurait cru. Comment s'appelait votre mère, déjà ? »

Vous lui dites son nom.

« Ah, oui, je me souviens. Une femme superbe, je l'aimais tant… »

Les yeux rivés sur son bureau, Fiorentino a l'air mal à l'aise. Voulez-vous lire dans ses pensées ou pas ?
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Pas. Il est si ridicule Smile
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Oui, on tente de lire dans ses pensées, même si a priori il semble vouloir gagner du temps.
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Essayons de lire dans ses pensées. S'il nous cache quelque chose, cela devrait nous permettre de le tirer au clair (si nos pouvoirs ont le bon goût de marcher, évidemment).
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On lance le dé... (Rappel : de 1 à 3, ça passe, au-dessus, c'est cuit.)



... et c'est bon !

705 a écrit :Vous réussissez à activer votre télépathie et l'esprit de Fiorino s'ouvre à vous comme un livre. Vous l'examinez, page après page.

Il ne vous faut pas longtemps pour comprendre qu'il ment et qu'il en a conscience. En fait, il a vu votre mère pour la dernière fois trois ans avant votre naissance !

Voulez-vous le tuer ou faire semblant d'entrer dans son jeu ?
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Bon c'est pas la peine de tergiverser, on le dégomme.
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Pour le coup, je serais plutôt tenté d'utiliser cette info à notre avantage. A la fois parce que ça peut être intéressant, mais aussi parce qu'il y a toujours cet espèce de zombie en armure qui peut nous poser problème.
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Entrons dans son jeu, il y sans peut-être moyen de tirer de lui quelque chose de plus intéressant que de l'argent.
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Le pacifisme prévaut une fois de plus.

569 a écrit :« Mmm... hmm... mmm... hmm... mmm », marmonne Fiorentino, les yeux dans le vague, le menton dans le creux de la main, perdu dans ses pensées. Soudain, il se redresse et plonge son regard dans le vôtre.

« Je crois que tu dis vrai. J'ai effectivement fréquenté ta mère neuf mois avant ta naissance, et je suis sûr d'avoir été son seul amant à l'époque. Il semble donc que je sois bel et bien ton père. »

Un ange passe.

« Alors, euh... Qu'est-ce que tu attends de moi, au juste ? »

Cette question vous prend un peu par surprise. Qu'allez-vous répondre ?

« De l'argent. » ?
« Un serviteur zombie à moi. » ?
« VENGEANCE ! » ?
Rien du tout ?
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L'option "rien du tout" est trop énigmatique pour ne pas être la meilleure.

Les autres options ne valent pas grand-chose, de toute façon. L'argent, on en a déjà. On n'a aucune raison de se venger de lui. Un serviteur zombie serait sympa mais peu discret, et Aria est bien capable de se défendre tout seul.
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Au cas où ça serait ambigu, la quatrième option est de ne rien dire du tout, et pas de dire « rien du tout ».
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