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30/05/2017, 22:33
(Modification du message : 30/05/2017, 22:35 par Skarn.)
Réflexion que je ne savais pas où mettre ailleurs : Je me rends compte que si, pendant des années et des années, j'avais tendance à systématiquement ajouter du texte pour améliorer les paragraphes que je trouvais faible, maintenant, j'essaye plutôt de retirer ce qui est de trop.
J'ai dit j'essaye.
Fitz a écrit :Quand je vois que j'ai écrit l'équivalent d'un tome de Gloire Posthume et que je dois en faire deux fois plus, ça me décourage... Quelle idée d'écrire deux fois plus pour une aventure qui sera peut-être deux fois moins bonne?
Lu sur le blog de Green (je ne sais plus de qui est la citation originale par contre) : Écrire un roman, c'est comme raconter une blague et devoir attendre trois ans avant de savoir si elle est drôle.
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(30/05/2017, 22:33)Skarn a écrit : Réflexion que je ne savais pas où mettre ailleurs : Je me rends compte que si, pendant des années et des années, j'avais tendance à systématiquement ajouter du texte pour améliorer les paragraphes que je trouvais faible, maintenant, j'essaye plutôt de retirer ce qui est de trop.
J'ai dit j'essaye.
Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n’y a plus rien à ajouter, mais quand il n’y a plus rien à retrancher.
Antoine de Saint-Exupéry
(parce que ça fait plus classe quand c'est quelqu'un d'autre qui le dit)
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01/06/2017, 21:16
(Modification du message : 01/06/2017, 21:17 par Skarn.)
Je vais avoir à nouveau besoin de testeurs (disons pour la semaine prochaine).
Non, mais je triche, j'avais fortement entamé cette avh-là au tout début des mini-Yaz', avant même d'avoir le concept d'Incarnation.
Et il y a une raison pour laquelle je l'ai fait passer au second plan.
Tout comme il y a une raison pour laquelle je la ressors maintenant.
PS : Celle-là sera au format PDF, et il y a techniquement des jets de dés dans la version actuelle (mais pas sûr qu'ils survivent jusqu'à la version finale).
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01/06/2017, 21:24
(Modification du message : 01/06/2017, 21:26 par gynogege.)
Pour Skarn, et pour compléter la citation d'Akka: je ne sais plus si j'ai déjà raconté cette anecdote (peut-être que je radote). J'ai été marqué à vie par la réflexion de ma prof de français au lycée qui avouait son admiration pour le travail de Camus, en précisant qu'après avoir écrit un texte il le reprenait en entier pour enlever ce qui était en trop. Quant à Faulkner, dans "Sanctuaire", il a carrément jeté à la poubelle toute la première partie pour faire démarrer le roman directement à la deuxième !
Bref, tu suis la trace des plus grands...
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Houla, ça parle de Camus ici, ça me plait
Je venais vous faire part du lancement du projet livre dont vous êtes le héros "La Geste du Chevalier Errant", les toutes premières images sont sur mon blog
http://www.gameblog.fr/blogs/platon21/p_122330_nouveau-livre-dont-vous-etes-le-heros-la-geste-du-chevalier-
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De mon côté, ma prochaine AVH, Alshaya, avance bien (J'étais parti sur un autre projet mais je pédalais dans la semoule, j'ai tout remis à plat).
AVH "désertique" donc, comme prévu. Avec un très fort côté chamanique, accomplissement, voie du guerrier, tout ça, pas ma faute, c'est l'influence de l'ami Sunkmanitu... Bien moins lyrique qu'à mon habitude, plus sobre, recentrée sur l'essentiel.
Assez originale aussi puisque le lecteur commence en ignorant qui il est, il émerge lentement de l'inconscience en un endroit inconnu et n'apprendra que progressivement ce qui s'est passé, qui il est, où il se trouve. J'en suis à la moitié, elle sera certainement plus courte que les autres.
Mon roman sur l'univers des tambours de Shamanka avance bien aussi mais je fais une pause, c'est pas évident de passer d'un univers à l'autre.
Bonne continuation à tous !
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Deux semaines, c'est amplement suffisant pour rédiger 50 paragraphes. Non ?
***************************
Vous avez atteint un stade d’épuisement où toutes les sensations qui vous parviennent ont quelque chose de dur et de blessant, comme si un filtre entre la réalité brute et vous-même était trop usé pour fonctionner encore. Éblouie par les lumières électriques se reflétant sur le bitume, étouffant dans la chaleur que la nuit appesantit au lieu de l’alléger, vous tendez la main pour pousser la porte du Shahrzad, mais c’est moins l’action intentionnelle de vos muscles que le poids de votre corps s’affalant contre la surface de bois qui vous permet en fin de compte de rentrer.
L’intérieur du bar est frais, ses lumières sont douces et il y règne un brouhaha de conversation enjouée sur fond de musique. Vous vous attardez un instant près de l’entrée, moins pour observer que pour laisser l’atmosphère diluer un peu de la lassitude qui s’attache aux moindres de vos gestes. En plus des serveurs qui vont et viennent et des musiciens amateurs qui se succèdent sur une petite estrade, il y a dans le bar une trentaine de clients, assis sur des chaises et des banquettes confortables. Un tiers d’entre eux sont des étudiants, regroupés autour de trois tables bout à bout et fêtant visiblement la fin de leurs examens. Le reste se compose principalement de couples.
Il n’y a aucune fenêtre donnant sur l’extérieur. Les murs sont recouverts d’une grande fresque colorée représentant un jardin verdoyant, où des personnages vêtus à l’ancienne devisent plaisemment à l’ombre d’orangers en fleurs. C’est une œuvre collective réalisée juste avant l’ouverture du bar et quelques éléments – une fontaine, un paon, une tente safranée – y sont d’ailleurs de votre main. Mais votre travail principal, même si vous n’en avez naturellement pas fait part aux autres artistes, a été d’ancrer des Lares à la fresque et de les configurer de manière à éloigner toute attention indésirable.
Le fait d’être incapable de percevoir des Lares qui vous sont si familiers accentue votre impression d’avoir été rendue à demi aveugle et à demi sourde, mais vous réprimez le malaise viscéral qui menace de vous paralyser. Aussi accoutumée que vous soyez à la réalité augmentée, vous pouvez vous en passer ; l’essentiel est que vous êtes toujours en mesure de coder.
Pour l’instant, cela n’est même pas nécessaire : quelques commandes vocales, noyées dans le brouhaha ambiant, vous suffisent à modifier la configuration des Lares de manière à ce qu’ils protègent l’intégrité physique des occupants du bar et jugulent les mouvements de panique. Aucune confirmation sensorielle n’accompagne bien entendu les changements opérés, mais vous n’avez pas d’autre choix que de vous accommoder de cet état d’incertitude.
L’emprise de la pesanteur sur vos jambes se renforce de seconde en seconde et vous décidez d’allez vous asseoir au comptoir sans plus tarder. Vous croisez au passage les coups d’œil intrigués de quelques-uns des clients, mais ils ne s’attardent pas. Le Shahrzad fait partie de l’un des quartiers les plus vivants de l’Urbs, mais, d’un point de vue géographique, il est situé dans un pays fort peu émancipé : ces festivités innocentes entre étudiants des deux sexes pourraient leur valoir le fouet à tous et les deux jeunes hommes que vous apercevez en tête-à-tête dans un recoin de la salle risqueraient bien pire encore. Les gens qui fréquentent le bar s’épargnent les uns aux autres les regards inquisiteurs qu’ils sont venus pour fuir.
Tannaz est derrière le comptoir, en train de remplir de grands verres de bière et de les disposer sur un plateau. Le visage rond, les cheveux attachés en un chignon faussement négligé et la chair d’un modèle de Renoir, la propriétaire du bar est économe avec ses gestes comme avec ses expressions. Mais, lorsqu’elle confie la commande à l’un de ses serveurs et se tourne vers vous, la manière dont ses yeux s’écarquillent est fort expressive.
- Octavia ! Est-ce que ça va ? Tu as besoin de quelque chose ?
Le reflet que vous saisissez dans le miroir derrière elle vous confirme que, lorsque vous aurez enfin pu vous laisser tomber sur un lit et y faire le tour du cadran, il ne serait pas superflu de passer trois ou quatre heures dans la salle de bain. Votre peau noire est luisante de sueur, vos tresses sont dans le désordre le plus complet, votre visage est sale et des égratignures superficielles entourent vos yeux, où brille un éclat fiévreux. Le chemisier clair que vous avez eu la mauvaise inspiration d’enfiler ce matin est quant à lui dans un état indescriptible. Seule et minuscule note impeccable dans votre apparence, votre piercing à la lèvre scintille comme une étoile isolée dans la nuit.
- Oui, répondez-vous en vous hissant tant bien que mal sur un haut tabouret, d’un Bloody Mary bien épicé.
Tannaz se met à l’œuvre sans poser davantage de questions. Les avant-bras lourdement appuyés contre la surface du comptoir, vous la regardez faire, vaguement bercée par la précision fluide avec laquelle elle dose les ingrédients. Une fois mélangés avec des glaçons, elle verse le tout dans un grand verre au rebord enduit de sel, y ajoute un peu de poivre, décore d’une branche de céleri et dépose enfin le cocktail achevé devant vous.
La minute qui suit est une renaissance que votre lassitude même rend plus exquise. Après la première gorgée, vous vous sentez de nouveau humaine. Après la seconde, il vous semble que vous regagnez la civilisation au sortir d’un désert. Après la troisième, vous retrouvez la capacité et le goût de bavarder :
- Ah ! Vivent les tomates et la vodka ! Si jamais j’ai un jour une réunion de travail, je négocierai une prime de risque versée en fruits et légumes et en alcool.
- Je ne réalisais pas que ton métier t’exposait à vivre des aventures.
- Moi si, mais je ne réalisais pas à quel point. C’est le genre de choses qui fait regretter l’ancien temps. À l’époque, j’aurais eu un licteur grand et musclé pour me servir de garde du corps !
- Dans l’ancien temps, observe Tannaz, je pense que ta carrière se serait achevé assez rapidement lorsque tu aurais été enterrée vivante.
La répartie vous tire un sourire amusé. Deux gorgées de cocktail supplémentaires vous donnent le courage de vous lancer dans des explications plus détaillées :
- Je suis désolée de venir dans ton bar dans un état pareil, mais j’ai passé toute ma journée à courir après un Lémure et ça ne m’a pas permis de rester très présentable.
- Un Lémure… C’est une sorte de fantôme, non ?
Tannaz fait partie des assez rares personnes auxquelles vous avez révélé votre fonction et les principes fondamentaux de l’Urbs, mais il y a bien des détails que vous ne lui avez jamais expliqué que de façon sommaire.
- Les esprits des morts qui restent attachés à l’endroit où ils ont vécu sont les Mânes. Ils se contentent essentiellement d’exister et de reproduire les actions dont ils se souviennent. Lorsqu’ils sont soumis à certains stimulus, il peut leur arriver d’influencer les gens qui se trouvent à proximité, mais ils ne sont pas dangereux. Les Lémures – qu’on appelle aussi les Larves – sont de nature similaire, mais ils cherchent activement à interagir avec les vivants. Comme ils sont animés par des passions incontrôlées, ils peuvent facilement être dangereux.
C’est la théorie classique que vous lui exposez là. La théorie moderne est que Mânes et Lémures ne sont pas réellement les âmes des défunts, mais les échos de leur existence : des souvenirs devenus autonomes, fixés à la trame du monde physique comme des empreintes de mains sur la paroi d’une caverne. La question est fascinante d’un point de vue philosophique, mais possiblement insoluble et de toute façon dénuée de conséquences pratiques pour ce qui vous occupe.
- J'imagine que vous avez des méthodes pour vous en occuper, commente Tannaz.
- Pléthore. Mais ce Lémure-ci est... il me donne du fil à retordre.
- Est-ce que tu ne devrais pas te faire aider par tes collègues ? Et il me vient à l'esprit une deuxième question : est-ce que tu veux quelque chose à grignoter ? J'ai l'impression que tu n'as pas mangé depuis un certain temps.
- Claudia et Flavia étaient avec moi à l'origine, mais nous nous sommes séparées avant que je ne puisse découvrir à quel point c'était une mauvaise idée. En ce qui concerne ta deuxième question, je confesse que tu as absolument raison.
Quelques secondes plus tard, votre cocktail a reçu la compagnie d'un bol de noix de cajou, dans lequel vous piochez avec fort peu de retenue.
- Tout a commencé il y a une dizaine d'heures, racontez-vous. Claudia était à une rave party - et je suis certaine qu'elle ne s'amusait pas à moitié - lorsque l'audience est soudain devenue encore plus cinglée qu'elle ne l'était déjà : un grand nombre de Lémures était en train de posséder les gens qui se trouvaient là. Claudia nous a appelé à la rescousse, Flavia et moi. À nous trois, nous avons réussi à contrôler la situation avant qu'elle ne dégénère en hystérie collective. Un seul des Lémures a réussi à nous glisser entre les doigts. Je me suis lancé à sa poursuite, en laissant Claudia et Flavia neutraliser ses comparses. Je pensais qu'il était juste un peu plus retors que la moyenne et que je l'aurais vite rattrapé. Mais en fin de compte...
Rendez-vous au I.
*******************
(Le premier paragraphe ramène l'histoire 8 heures en arrière.)
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Citation :Deux semaines, c'est amplement suffisant pour rédiger 50 paragraphes. Non ?
On va dire que ça dépend d'un tas de critères : existence préalable ou pas d'un plan de l'aventure, son niveau de détails le cas échéant, temps libre disponible durant ces fameuses deux semaines, entraînement et expérience de l'auteur dans l'art d'écrire…
Mais cela n'est certainement pas une durée confortable, permettant de progresser sans stress et de relire tranquillement.
Techniquement, si l'introduction est un flashback, il est déjà écrit que l'héroïne s'en sort en un seul morceau.
Bon, après, cela ne veut pas dire qu'elle ne s'est pas lamentablement plantée au cours de celle-ci, laissant le Lémure causer de sacrés dégâts.
(j'écarte volontairement l'hypothèse que l'héroïne soit morte et ne le sache pas, parce c'est un rebondissement beaucoup trop cliché, et que je ne vois pas Outremer tomber dans cette facilité)
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15/06/2017, 22:50
(Modification du message : 15/06/2017, 23:02 par Outremer.)
(15/06/2017, 22:32)Skarn a écrit : Techniquement, si l'introduction est un flashback, il est déjà écrit que l'héroïne s'en sort en un seul morceau.
J'y ai pensé, mais j'ai trouvé volé emprunté une idée rendant possible de tout de même coller des PFA pendant le flashback.
Lorsque l'héroïne/narratrice meurt, elle commentera simplement à la fin du paragraphe que cela ne s'est (évidemment) pas passé comme ça. Mais ça reste un échec pour le joueur. C'est un truc qu'on trouve par exemple dans le récent "King's Quest", où le personnage principal raconte ses aventures passées.
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(15/06/2017, 20:30)Outremer a écrit : Deux semaines, c'est amplement suffisant pour rédiger 50 paragraphes. Non ? heuh, lisy (ça va l'énerver ça lol) détient le record avec 48h ; donc écrit en 7 en 2 semaines et on t'érigera une statue
PS : une AVH flashback, j'en ai une dans mes projets avortés (sauf qu'elle remontait bien plus loin dans le temps )
сыграем !
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(15/06/2017, 22:50)Outremer a écrit : (15/06/2017, 22:32)Skarn a écrit : Techniquement, si l'introduction est un flashback, il est déjà écrit que l'héroïne s'en sort en un seul morceau.
J'y ai pensé, mais j'ai trouvé volé emprunté une idée rendant possible de tout de même coller des PFA pendant le flashback.
Lorsque l'héroïne/narratrice meurt, elle commentera simplement à la fin du paragraphe que cela ne s'est (évidemment) pas passé comme ça. Mais ça reste un échec pour le joueur. C'est un truc qu'on trouve par exemple dans le récent "King's Quest", où le personnage principal raconte ses aventures passées.
ahah comme dans Monkey Island 2 quand on est pendu au bout de la corde avec Wally!
bon, ben... bon courage! Mais c'est un exercice dans tes cordes je crois que de produire à bloc sur une courte période...
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Bon. Mais l'intro elle-même, elle vous va ? A part Skarn (à qui j'ai déjà fourni quelques détails parce que j'avais besoin de son aide), est-ce que vous avez un aperçu correct du cadre et de l'héroïne ?
Je ne veux pas alourdir l'histoire par trop de détails et d'explications, mais il faut tout de même que le lecteur ne se sente pas complètement perdu.
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osef, la présentation c'est bateau, c'est le développement de l'héroïne qui nous intéresse lol
peut-être un peu trop de prénoms féminins en "a"...
сыграем !
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(16/06/2017, 11:39)Caïthness a écrit : Peut-être un peu trop de prénoms féminins en "a"...
Octavia, Flavia et Claudia, j'admets que ça fait un peu répétitif, mais c'était pour donner un cachet de classicisme.
En les appelant Jennifer, Sharon et Dorothée, j'aurais eu l'impression de m'éloigner inutilement de la thématique.
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16/06/2017, 18:28
(Modification du message : 16/06/2017, 18:28 par Akka.)
(15/06/2017, 22:50)Outremer a écrit : J'y ai pensé, mais j'ai trouvé volé emprunté une idée rendant possible de tout de même coller des PFA pendant le flashback.
Lorsque l'héroïne/narratrice meurt, elle commentera simplement à la fin du paragraphe que cela ne s'est (évidemment) pas passé comme ça.
Prince of Persia vient de m'appeler et demande le paiement de royalties :p
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