02/12/2011, 00:57
Je me doutais que la fin du 200 ferait débat mais de mon expérience personnelle, de ce que je vois autour de moi IRL, elle me parait très plausible. Une variante de ce que les psychologues à deux sous aiment appeler la crise de la quarantaine mais qui dissimule bien des replis complexes de la sensibilité humaine.
Je comprends que ça puisse choquer, que l'on puisse être dégouté ou refuser une telle éventualité et c'est pour ça que le choix existe pour le lecteur.
Mais effectivement, je n'ai pas eu le loisir dans une AVH de 200 paragraphes de laisser plus d'indices subtils concernant le passé du héros, ses aspirations ou son éventuel jardin secret. C'est au lecteur de s'imaginer tout ça avant de prendre la décision de rupture avec sa vie actuelle.
Je comprends que ça puisse choquer, que l'on puisse être dégouté ou refuser une telle éventualité et c'est pour ça que le choix existe pour le lecteur.
Mais effectivement, je n'ai pas eu le loisir dans une AVH de 200 paragraphes de laisser plus d'indices subtils concernant le passé du héros, ses aspirations ou son éventuel jardin secret. C'est au lecteur de s'imaginer tout ça avant de prendre la décision de rupture avec sa vie actuelle.