12/07/2021, 20:35
En entamant cette AVH, j’ai trouvé que son histoire ne ressemblait guère à celles des autres œuvres de Gwalchmei dont je me souvenais (essentiellement « Celui qui hurle », « Tan Noz » et « Les âmes seules »). Ce n’est qu’en jetant un coup d’œil sur Littéraction que je me suis rappelé de « Ad Nauseam », avec laquelle cette aventure-ci a des similarités plus claires.
C’est une aventure solide, qui exploite très bien le thème de ce mini-Yaz. Sa structure est bien ficelée, offrant une liberté conséquente et des choix intéressants à faire. Le scénario est original.
Je me suis parfois demandé si l’usage des dés ne pourrait pas y être complètement supprimé, mais je n’en suis pas certain. Cette dose d’aléatoire – au demeurant assez modérée – est plutôt réaliste et contribue à la tension dont est empreinte l’histoire. (Je l’ai tout de même eu mauvaise, à mon avant-dernière tentative, lorsque mes jets de dés systématiquement mauvais m’ont fait échouer tout à la fin uniquement parce que le nombre de survivants était tombé un peu trop bas.)
La seule chose que je critiquerais dans l’aventure, c’est le rôle essentiel qu’y joue le Sektuga, le héros de la tribu. Je pense que l’histoire se porterait mieux sans lui. Il accapare trop l’attention, au détriment à la fois du personnage principal que l’on incarne et des membres plus ordinaires du clan. Je n’ai pas le sentiment qu’il apporte grand-chose d’intéressant d’un point de vue scénaristique, atmosphérique ou thématique. Lors de ma première partie, je me suis dis que la perspective d’augmenter son aura n’était peut-être qu’une fausse piste et que la bonne chose à faire était d’ignorer ce héros déchu pour me concentrer sur les autres membres du clan ; je me trompais complètement, mais je pense cependant que cette possibilité aurait peut-être mieux collé à l’histoire.
C’est bien sûr une bonne chose d’avoir un deuxième score (en plus du nombre de survivants) qui fasse la différence entre les diverses fins qu’on peut atteindre, mais ça aurait facilement pu être autre chose que l’Aura du Sektuga (un score reflétant notre autorité vis-à-vis des guerriers du clan, par exemple).
L'atmosphère de l'histoire a un caractère oppressant et tragique. À cause de cela, je l'ai quelquefois trouvée presque pesante. Elle n'en est pas moins marquante et réussie.
C’est une aventure solide, qui exploite très bien le thème de ce mini-Yaz. Sa structure est bien ficelée, offrant une liberté conséquente et des choix intéressants à faire. Le scénario est original.
Je me suis parfois demandé si l’usage des dés ne pourrait pas y être complètement supprimé, mais je n’en suis pas certain. Cette dose d’aléatoire – au demeurant assez modérée – est plutôt réaliste et contribue à la tension dont est empreinte l’histoire. (Je l’ai tout de même eu mauvaise, à mon avant-dernière tentative, lorsque mes jets de dés systématiquement mauvais m’ont fait échouer tout à la fin uniquement parce que le nombre de survivants était tombé un peu trop bas.)
La seule chose que je critiquerais dans l’aventure, c’est le rôle essentiel qu’y joue le Sektuga, le héros de la tribu. Je pense que l’histoire se porterait mieux sans lui. Il accapare trop l’attention, au détriment à la fois du personnage principal que l’on incarne et des membres plus ordinaires du clan. Je n’ai pas le sentiment qu’il apporte grand-chose d’intéressant d’un point de vue scénaristique, atmosphérique ou thématique. Lors de ma première partie, je me suis dis que la perspective d’augmenter son aura n’était peut-être qu’une fausse piste et que la bonne chose à faire était d’ignorer ce héros déchu pour me concentrer sur les autres membres du clan ; je me trompais complètement, mais je pense cependant que cette possibilité aurait peut-être mieux collé à l’histoire.
C’est bien sûr une bonne chose d’avoir un deuxième score (en plus du nombre de survivants) qui fasse la différence entre les diverses fins qu’on peut atteindre, mais ça aurait facilement pu être autre chose que l’Aura du Sektuga (un score reflétant notre autorité vis-à-vis des guerriers du clan, par exemple).
L'atmosphère de l'histoire a un caractère oppressant et tragique. À cause de cela, je l'ai quelquefois trouvée presque pesante. Elle n'en est pas moins marquante et réussie.