30/11/2008, 14:39
Il est arrivé et il fait du bien !
Beaucoup de gens attendaient nerveusement et avec impatience le troisième opus de cette série. Fallout, la série de RPG se passant dans un monde post-apocalyptique !
Beaucoup crient sur le passage en 3D, personnellement je trouve ça plus intéressant en ce sens qu'un monstre peut apparaître derrière soit et c'est tant mieux, car on ne le voit pas ! De plus il est possible de se promener entre les villes, et c'est de cette manière que l'on trouve les lieux utiles.
Beaucoup de compétences, comme Jeux ou Survie, ont sauté. Les compétences restantes, sont toutes assez utile et il ne faut pas hésiter à mettre quelques points un peu partout, en privilégiant bien entendu les compétences dont on avait l'optique au début de la création du personnage.
Au niveau de l'histoire, elle commence par un didacticiel original, puisqu'on joue (en accéléré) les dix-neuf premières années de la vie du héros, qui vit dans l'Abri 101 en compagnie de son père, chercheur et médecin. A ses 19 ans, le père du héros s'enfuit, le priant de ne jamais le rejoindre. Ainsi commence la quête principale "trouver Papa".
L'univers change un peu et se retrouve plus Madmax : les bandits sont des punks écervelés (dont on est heureux de se défaire), des créatures mutantes vous attaquent, tous les aliments sont fortement irradiés... Le côté humour décalé est toujours là, avec des références aux premiers opus, ainsi qu'un univers toujours étrange (des villes qui se créent en haut de ponts... ou autour de bombes atomiques !).
L'univers est également agrémenté, comme dans GTA, de stations de radio à écouter. L'une passe par exemple un message lave-cerveau du président des états-unis, un autre passe la sélection rock d'un DJ plutôt cool et rigolo, la radio permet également des capter des messages de secours.
Au niveau de combat, le système de jeu est un shoot agrémenté d'un mode pause pour simuler le tir visé qui existait dans les premiers opus. On peut savoir donc, comme un jdr, la possibilité de toucher la partie du corps que l'on veut, au hasard, la tête...
Niveau montée de persos, il y a toujours ce système de dons que l'on gagne, cette fois-ci, à chaque niveau. Sachez que les compétences sont importantes, donc il faut privilégier beaucoup l'intelligence. Attention aussi, le jeu est limité à 20 niveaux, il ne faut donc pas s'encombrer de ceux qui accélèrent la montée d'XP, plutôt ceux qu'il faut acheter à bas niveau essentiellement...
Et comme dans Fallout 2, il existe beaucoup d'objets à "collectionner", qui plus sont extrêment utiles. Sont cachées dans l'univers une quinzaine de poupées, boostant d'un point une caractéristique ou de dix points une compétneces. Sont cachés également, pour chaque compétence, 25 magazines qui donnent +1 dans la compétence associée. Autant dire que l'on passe beaucoup de temps à explorer le moindre recoin, le moindre coffre-fort à la recherche de ces objets.
Bref, je dirai "digne successeur", mais digne est le qualificatif très bien. Cela aurait pu être mieux, mais le jeu globalement en vaut la chandelle.
Beaucoup de gens attendaient nerveusement et avec impatience le troisième opus de cette série. Fallout, la série de RPG se passant dans un monde post-apocalyptique !
Beaucoup crient sur le passage en 3D, personnellement je trouve ça plus intéressant en ce sens qu'un monstre peut apparaître derrière soit et c'est tant mieux, car on ne le voit pas ! De plus il est possible de se promener entre les villes, et c'est de cette manière que l'on trouve les lieux utiles.
Beaucoup de compétences, comme Jeux ou Survie, ont sauté. Les compétences restantes, sont toutes assez utile et il ne faut pas hésiter à mettre quelques points un peu partout, en privilégiant bien entendu les compétences dont on avait l'optique au début de la création du personnage.
Au niveau de l'histoire, elle commence par un didacticiel original, puisqu'on joue (en accéléré) les dix-neuf premières années de la vie du héros, qui vit dans l'Abri 101 en compagnie de son père, chercheur et médecin. A ses 19 ans, le père du héros s'enfuit, le priant de ne jamais le rejoindre. Ainsi commence la quête principale "trouver Papa".
L'univers change un peu et se retrouve plus Madmax : les bandits sont des punks écervelés (dont on est heureux de se défaire), des créatures mutantes vous attaquent, tous les aliments sont fortement irradiés... Le côté humour décalé est toujours là, avec des références aux premiers opus, ainsi qu'un univers toujours étrange (des villes qui se créent en haut de ponts... ou autour de bombes atomiques !).
L'univers est également agrémenté, comme dans GTA, de stations de radio à écouter. L'une passe par exemple un message lave-cerveau du président des états-unis, un autre passe la sélection rock d'un DJ plutôt cool et rigolo, la radio permet également des capter des messages de secours.
Au niveau de combat, le système de jeu est un shoot agrémenté d'un mode pause pour simuler le tir visé qui existait dans les premiers opus. On peut savoir donc, comme un jdr, la possibilité de toucher la partie du corps que l'on veut, au hasard, la tête...
Niveau montée de persos, il y a toujours ce système de dons que l'on gagne, cette fois-ci, à chaque niveau. Sachez que les compétences sont importantes, donc il faut privilégier beaucoup l'intelligence. Attention aussi, le jeu est limité à 20 niveaux, il ne faut donc pas s'encombrer de ceux qui accélèrent la montée d'XP, plutôt ceux qu'il faut acheter à bas niveau essentiellement...
Et comme dans Fallout 2, il existe beaucoup d'objets à "collectionner", qui plus sont extrêment utiles. Sont cachées dans l'univers une quinzaine de poupées, boostant d'un point une caractéristique ou de dix points une compétneces. Sont cachés également, pour chaque compétence, 25 magazines qui donnent +1 dans la compétence associée. Autant dire que l'on passe beaucoup de temps à explorer le moindre recoin, le moindre coffre-fort à la recherche de ces objets.
Bref, je dirai "digne successeur", mais digne est le qualificatif très bien. Cela aurait pu être mieux, mais le jeu globalement en vaut la chandelle.
Il ne faut pas attendre d'être heureux pour sourire... il faut sourire pour être heureux.
