26/05/2008, 16:45
Sept après le troisième opus de Phoenix Wright (Trials and tribulations, malheureusement pas encore, et sûrement jamais, sorti en France, et qui est à mon goût le meilleur), un nouvel avocat fait surface : Apollo Justice. Avec un nom comme ça vous me direz...
Lors de son premier procès, ce n'est pas des moindres qu'il doit défendre : Phoenix Wright, devenu joueur de poker et mauvais pianiste. La situation étant celle qui est, à l'issu du procès, Apollo est contraint de servir Phoenix Wright, devenu paresseux et mou. Il est secondé par la fille adoptive de Phoenix, Trucy (Vérité en français), qui n'est pas medium, mais magicienne, et, contrairement à Maya, beaucoup plus futée.
Le gameplay de la DS est légèrement augmenté puisque l'on peut généralement tourner les indices pour chercher d'autres éléments dessus et faire avancer le jeu. Par ailleurs, la mode étant, on peut utiliser toute une panoplie d'objets issus de la police scientifique pour sortir des empreintes et des traces.
Côté innovation, on possède désormais un pouvoir de vision qui permet de détecter, au moment crucial, des signes de faiblesse chez un témoin qui risque de mentir. Lors de son témoignage, on peut observer qu'il tourne les yeux, se gratte, etc. montrant ainsi sa gêne sur une phrase précisement. Déjà que le système judiciaire du monde de Gyakuten Saiban est bancal, si on rajoute un coup de poker...
Au final, ce jeu reste globalement assez décevant. Même si on retrouve l'humour, et des personnages comme Boulay, le Juge ou Ema Skye, on reste sur notre faim et est attristé de ne plus incarner le vétéran qu'est Phoenix Wright, devenu pour le coup un véritable clochard sans charisme. A tester éventuellement, mais pour les anglophones j'invite à trouver une cartouche de Phoenix Wright 3 en japonais car une version anglaise y est présente. Et les aventures beaucoup plus palpitantes !
Lors de son premier procès, ce n'est pas des moindres qu'il doit défendre : Phoenix Wright, devenu joueur de poker et mauvais pianiste. La situation étant celle qui est, à l'issu du procès, Apollo est contraint de servir Phoenix Wright, devenu paresseux et mou. Il est secondé par la fille adoptive de Phoenix, Trucy (Vérité en français), qui n'est pas medium, mais magicienne, et, contrairement à Maya, beaucoup plus futée.
Le gameplay de la DS est légèrement augmenté puisque l'on peut généralement tourner les indices pour chercher d'autres éléments dessus et faire avancer le jeu. Par ailleurs, la mode étant, on peut utiliser toute une panoplie d'objets issus de la police scientifique pour sortir des empreintes et des traces.
Côté innovation, on possède désormais un pouvoir de vision qui permet de détecter, au moment crucial, des signes de faiblesse chez un témoin qui risque de mentir. Lors de son témoignage, on peut observer qu'il tourne les yeux, se gratte, etc. montrant ainsi sa gêne sur une phrase précisement. Déjà que le système judiciaire du monde de Gyakuten Saiban est bancal, si on rajoute un coup de poker...
Au final, ce jeu reste globalement assez décevant. Même si on retrouve l'humour, et des personnages comme Boulay, le Juge ou Ema Skye, on reste sur notre faim et est attristé de ne plus incarner le vétéran qu'est Phoenix Wright, devenu pour le coup un véritable clochard sans charisme. A tester éventuellement, mais pour les anglophones j'invite à trouver une cartouche de Phoenix Wright 3 en japonais car une version anglaise y est présente. Et les aventures beaucoup plus palpitantes !
Il ne faut pas attendre d'être heureux pour sourire... il faut sourire pour être heureux.