08/12/2022, 23:51
comme je l'avais indiqué en septembre, de nombreux changements perso m'ont tenu à l'écart des Yaz actuels ces deux derniers mois
bien que je sorte maintenant la tête de l'eau, les fêtes arrivent à grands pas et vont me bloquer encore tout le mois de décembre, voire début janvier
trop peu de temps pour lire les quinze AVH en lice et les apprécier sereinement avant la clôture des votes
et j'en suis bien désolé
j'ai donc décidé de reprendre à mon rythme, vu le peu de temps que je puisse y consacrer actuellement, la lecture de loup solitaire
j'ai mis des mois à finir le troisième cycle qui... comment dire... ne m'a pas amusé, du tout
autant les deux premiers cycles, que je connaissais déjà pour les avoir joués dans ma jeunesse, ont été un plaisir à relire, autant le troisième a été pour moi un calvaire durant cette année qui s'achève
j'entame donc le quatrième cycle avec un nouvel espoir : plus de demi-dieu, de glaive ultra-cheaté, de portes d'ombre...
place à... euh, attendez... voilà : arpenteur courageux et son épée étoile kaï ! (le hasard fait bien les choses, tout de même : j'aurais pu tomber sur tabouret outragé, par exemple, ou topinambour circonspect, la honte...)
j'ai les volumes en pdf et c'est là, justement, que le bât blesse : dans le voyage de la pierre de lune, arrivé au 315, voici le texte dans mon pdf :
Blessée à mort, l'Otokh pousse un cri strident et des étincelles
jaillissent de ses pattes et de sa gueule tandis que, lentement, elle
perd prise. Horrifié, vous la voyez alors dégringoler et s'écraser
lourdement sur le pont. Cinq pirates meurent étouffés sous le
poids de son corps énorme et sept autres, pris dans ses pattes,
sont entraînés dans sa chute quand elle roule à la mer. Un vent
de panique balaie alors le reste des pirates, qui font mine de se
replier sur leur navire. Mais leur chef menace de trancher luimême
la gorge à quiconque flancherait, et les hommes, qui
redoutent visiblement leur chef plus que tout autre péril, se
regroupent pour un nouvel assaut. Quittant l'abri du gaillard
d'avant, le chef.
et c'est tout !!! le texte s'arrête comme ça !!! je suis très désappointé !!!
c'est sûr, parfois, on trouve des co(q)uilles dans ces ldvelh scannés automatiquement en pdf, mais c'est bien la première fois que je tombe carrément sur une lacune de texte, si handicapante du reste
qui parmi vous, mes bienfaiteurs, détient ce volume en papier et peut photographier le 315, du moins la fin, afin que je puisse continuer mon exaltante aventure avant que, de rage, je brûle au bûcher le reste de la série ? je deviendrai son éternel obligé reconnaissant et rasséréné, et chanterai ses louanges
voilà, c'est une bouteille à la mer que je lance, qui la trouvera et me sauvera ?
bien que je sorte maintenant la tête de l'eau, les fêtes arrivent à grands pas et vont me bloquer encore tout le mois de décembre, voire début janvier
trop peu de temps pour lire les quinze AVH en lice et les apprécier sereinement avant la clôture des votes
et j'en suis bien désolé
j'ai donc décidé de reprendre à mon rythme, vu le peu de temps que je puisse y consacrer actuellement, la lecture de loup solitaire
j'ai mis des mois à finir le troisième cycle qui... comment dire... ne m'a pas amusé, du tout
autant les deux premiers cycles, que je connaissais déjà pour les avoir joués dans ma jeunesse, ont été un plaisir à relire, autant le troisième a été pour moi un calvaire durant cette année qui s'achève
j'entame donc le quatrième cycle avec un nouvel espoir : plus de demi-dieu, de glaive ultra-cheaté, de portes d'ombre...
place à... euh, attendez... voilà : arpenteur courageux et son épée étoile kaï ! (le hasard fait bien les choses, tout de même : j'aurais pu tomber sur tabouret outragé, par exemple, ou topinambour circonspect, la honte...)
j'ai les volumes en pdf et c'est là, justement, que le bât blesse : dans le voyage de la pierre de lune, arrivé au 315, voici le texte dans mon pdf :
Blessée à mort, l'Otokh pousse un cri strident et des étincelles
jaillissent de ses pattes et de sa gueule tandis que, lentement, elle
perd prise. Horrifié, vous la voyez alors dégringoler et s'écraser
lourdement sur le pont. Cinq pirates meurent étouffés sous le
poids de son corps énorme et sept autres, pris dans ses pattes,
sont entraînés dans sa chute quand elle roule à la mer. Un vent
de panique balaie alors le reste des pirates, qui font mine de se
replier sur leur navire. Mais leur chef menace de trancher luimême
la gorge à quiconque flancherait, et les hommes, qui
redoutent visiblement leur chef plus que tout autre péril, se
regroupent pour un nouvel assaut. Quittant l'abri du gaillard
d'avant, le chef.
et c'est tout !!! le texte s'arrête comme ça !!! je suis très désappointé !!!
c'est sûr, parfois, on trouve des co(q)uilles dans ces ldvelh scannés automatiquement en pdf, mais c'est bien la première fois que je tombe carrément sur une lacune de texte, si handicapante du reste
qui parmi vous, mes bienfaiteurs, détient ce volume en papier et peut photographier le 315, du moins la fin, afin que je puisse continuer mon exaltante aventure avant que, de rage, je brûle au bûcher le reste de la série ? je deviendrai son éternel obligé reconnaissant et rasséréné, et chanterai ses louanges
voilà, c'est une bouteille à la mer que je lance, qui la trouvera et me sauvera ?
ça va trancher, chérie !