29/09/2014, 07:37
Bonjour,
j'ai découvert, grâce à un copain bossant dans un FLGS (friendly local games store), le jeu de rôle City Hall, le jeu d'aventures.
Il s'agit d'un JdR orienté initiation, créé par Laurent « Bob Darko » Devernay (bien connu du milieu), et se passant dans l'univers du manfra (BD française avec un dessin style manga) City Hall, et édité par Ankama.
⇒ Présentation de l'ouvrage sur le site de l'éditeur
C'est du fantasy steampunk : dans un XIXe siècle alternatif, certains écrivains sont capable de faire naître des créatures, les papercuts, simplement en écrivant leur description sur papier. Selon la qualité de la description, le papercut est un simple pantin n'obéissant qu'aux ordres directs et ayant des possibilités d'action limitées, ou bien un être puissant et capable d'initiative. Cela a engendré la Grande Guerre, et a conduit à l'interdiction de l'écriture et à la destruction du stock de papier.
Mais il existe toujours des écrivains clandestins… Les PJ font partie du Nostromo, une police spéciale chargée de traquer les écrivains clandestins. Un bon prétexte de faire un autodafé en toute légalité (mais ne vous attendez pas à une Inquisition espagnole).
Pas encore fini de le lire, mais c'est très didactique, avec un scénario « tutoriel » pour guider les joueurs néophytes (finalement, L'Œil noir était en avance sur son temps…). Les joueurs choisissent une vocation (profession, archétype) parmi 4 (écrivain, inquisiteur, soldat, espion), un caractère lui donnant un bonus dans certaines situations (p. ex. esprit implacable), et détermine ses traits (carac) et ses compétences par simple répartition de points.
La résolution se fait en jetant des d6 : autant de d6 que la valeur de la compétence, et chaque valeur inférieure à un trait est un succès.
Moi, je dis, pour 25 EUR, faut pas se priver…
j'ai découvert, grâce à un copain bossant dans un FLGS (friendly local games store), le jeu de rôle City Hall, le jeu d'aventures.
Il s'agit d'un JdR orienté initiation, créé par Laurent « Bob Darko » Devernay (bien connu du milieu), et se passant dans l'univers du manfra (BD française avec un dessin style manga) City Hall, et édité par Ankama.
⇒ Présentation de l'ouvrage sur le site de l'éditeur
C'est du fantasy steampunk : dans un XIXe siècle alternatif, certains écrivains sont capable de faire naître des créatures, les papercuts, simplement en écrivant leur description sur papier. Selon la qualité de la description, le papercut est un simple pantin n'obéissant qu'aux ordres directs et ayant des possibilités d'action limitées, ou bien un être puissant et capable d'initiative. Cela a engendré la Grande Guerre, et a conduit à l'interdiction de l'écriture et à la destruction du stock de papier.
Mais il existe toujours des écrivains clandestins… Les PJ font partie du Nostromo, une police spéciale chargée de traquer les écrivains clandestins. Un bon prétexte de faire un autodafé en toute légalité (mais ne vous attendez pas à une Inquisition espagnole).
Pas encore fini de le lire, mais c'est très didactique, avec un scénario « tutoriel » pour guider les joueurs néophytes (finalement, L'Œil noir était en avance sur son temps…). Les joueurs choisissent une vocation (profession, archétype) parmi 4 (écrivain, inquisiteur, soldat, espion), un caractère lui donnant un bonus dans certaines situations (p. ex. esprit implacable), et détermine ses traits (carac) et ses compétences par simple répartition de points.
La résolution se fait en jetant des d6 : autant de d6 que la valeur de la compétence, et chaque valeur inférieure à un trait est un succès.
Moi, je dis, pour 25 EUR, faut pas se priver…
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Vous êtes mort.
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