La campagne impériale.
@MJ, Wolfram
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" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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@ashimbabar(hrp)
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hrp* je fais une petite apparition aujourd'hui (je repars demain) et remercie karandas qui a très bien repris mon perso. Bien que je me trouve un peu trop acerbe parfois, si on pouvait changer cela LOL ... Merci pour ton MP karandas. Bonne vacancesà tous et à dans assez longtemps... *hrp
Un jour je reviendrai ! Avec une vrai bonne création, de qualité ! Un jour...

site pour mes sagas mp3 : http://totypice.fr/
Facebook en tant que créateur : https://www.facebook.com/yggdrasilvanaheimproduction/
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MJ
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" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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@MJ et Harbull
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@MJ
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Une fois à l'écluse les patrouilleurs ruraux discutent avec l'éclusier puis saluent tous ceux présent et continuent leur route.

Le Berebeli passe l'écluse pour voguer sur la rivière Bögen. Le voyage dure trois jours et enfin vous arrivez à Weissbrück.

Josef convie tout le monde sur le pont afin d'accoster et d'aller boire un coup à la taverne. Vous contemplez le village et soudain une silhouette que vous connaissez se découpe sur le pas de la porte de ce qui semble être l'auberge.

Tandis que Josef et Wolmar sont occupés à amarrer le Berebeli il est clair que la silhouette vous observe!

Plus de doute , il s'agit de l'homme que vous avez vu en compagnie des deux personnages décédés qui faisaient des signes à Wolfram sur la Königplatz.

Quand il constate que vous le regardez également il se retourne et entre dans la taverne. Dans son dos on remarque qu'il porte une arbalète.
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Citation :Une fois à l'écluse les patrouilleurs ruraux discutent avec l'éclusier puis saluent tous ceux présent et continuent leur route. Le Berebeli passe l'écluse pour voguer sur la rivière Bögen

Quand la patrouille s'est éloignée Valentina jubile:
-Faut croire qu'ceux qu'ont donné not' signal'ment étaient ivres morts! J'ai bien cru qu'y z'allaient faire l'rapproch'ment avec mes améthisses! Elle fait un geste vague en direction de son visage.

Citation :Le voyage dure trois jours et enfin vous arrivez à Weissbrück.
(Je suppose que les provisions achetées par Valentina vont finir par se périmer. Puis-je considérer qu'on les a consommé et remplacé par des "fraîches"?)

Citation :Josef convie tout le monde sur le pont afin d'accoster et d'aller boire un coup à la taverne. Vous contemplez le village et soudain une silhouette que vous connaissez se découpe sur le pas de la porte de ce qui semble être l'auberge. Tandis que Josef et Wolmar sont occupés à amarrer le Berebeli il est clair que la silhouette vous observe! Plus de doute , il s'agit de l'homme que vous avez vu en compagnie des deux personnages décédés qui faisaient des signes à Wolfram sur la Königplatz. Quand il constate que vous le regardez également il se retourne et entre dans la taverne. Dans son dos on remarque qu'il porte une arbalète.

-V'là l'surineur des deux types l'soir d'not'fuite, j'suis prête à l'parier! Y peut rien tenter dans une auberge alors j's'rai d'avis qu'on discute. On pourra p'têt mieux comprendre c'qui s'passe. Mais bon Wolfram j'te laisse décider, après tout c'est ta trombine qu'est en cause...
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Il nous a suivis jusque-là ??? Ce type est pire qu'un chien de chasse !
Je suis d'accord avec Valentina sur un point, ça n'est pas de jour qu'il est à craindre, c'est de nuit. Il va agir cette nuit, c'est sûr comme deux et deux font quatre. Aussi nous devrions nous préparer pour le dignement recevoir.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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- Quelle plaie ! Maintenant que je suis déguisé, dire que je peux enfin avoir une conversation en face à face avec ce type.
Si vous êtes d'accord, je retourne à la péniche pour reprendre mon apparence normale et mes anciens vêtements, et je vous rejoints aussitôt. Faites attention à vous et à d'éventuelles sorties de service, mes amis ...
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Tout ce qu'on y gagnera à mon sens, c'est qu'il saura qu'on l'a repéré et en sera d'autant plus dangereux. Mieux vaudrait qu'il se croie insoupçonné, ainsi il viendrait à nous en s'imaginant nous surprendre et nous lui tomberions dessus… et vous pourrez lui parler alors, Wolfram, si nous le prenons vivant.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
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Poème d'Enheduanna
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- Il vaut peut-être mieux que je reste à bord, dans ce cas. Et toujours déguisé...
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-S'il voulait vraiment suriner un d'nous aut' y se s'rait pas montré ouvert'ment comme y vient d'le faire. Et il aurait déjà réussi j'pense: il a pas traîné l'aut'soir avec les deux loustics. Non, y veut juste nous causer, enfin pour l'moment. J'veux bien aller l'voir et lui dire de s'ramener sur l'pont d'la péniche si vous pensez qu'c'est plus sûr d'causer ici. Après j'rest'rai bien là-bas pour voir s'il a pas des complices qui l'suivent.
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S'il n'a pas tiré sur nous l'autre soir, il se peut qu'il ait été surpris et ait dû fuir en hâte. Quant à se laisser voir ici, tout le monde fait des erreurs. Ce n'est pas un surhomme; c'est un tueur qui opère de nuit, et ce n'est pas le genre de personne à fréquenter.
D'ailleurs, en supposant qu'il n'en veuille pas à Wolfram ni à nous, ça ne peut pas faire de mal de nous tenir sur nos gardes de toute façon; une saine prudence ne peut qu'être mère de toute sûreté.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
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Poème d'Enheduanna
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-C'est vrai qu'y semble pas fréquentable. Et c'est ben pour ça qu'j'préfère causer avec lui maint'nant d'vive voix plutôt qu'y nous cause à sa manière dans l'noir avec son arbalète! Y'a p'têt' moyen d'savoir c'qu'y veut exact'ment, et de l'convaincre qu'on est pas des cibles pour lui. On est nombreux, et de jour il pourra pas attaquer et jouer la fille de l'air. J'pense qu'on a une bonne occasion d'tâter l'terrrain avec lui, avant qu'le jour tombe. Après s'y r'fuse de v'nir j'fais d'mi-tour et on s'prépara à lui tend' une embuscade. Mais j'pense que j'devrai aller l'trouver dans c't'auberge. P'têt' accompagnée, mais vaut mieux qu'on soit pas trop nombreux sinon y pourrait penser qu'on veut lui régler son compte et y risque de s'débiner. Alors, qu'est-ce qu'on fait, j'y vais ou j'reste là?
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- Je suis d'avis d'attendre qu'il sorte et de lui tomber dessus. Dans la pénombre d'une ruelle discrète, il devrait être facile de le coinçer, l'assomer et le ramener à la péniche discrètement pour l'interroger une fois là-bas. Attendons, soigneusement cachés, il finira bien par sortir. A ce moment là, suivons-le et emparons-nous de lui.
Anywhere out of the world
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