Bon, je viens d'acheter La nuit du nécromancien (Jonathan green, ill. Martin McKenna). Pas encore lu, donc pas encore de critique.
Grand format, 440 §, gros prix (une quinzainre d'euros moins quelque centimes).
Une première impression positive : on (dés)incarne un chevalier de Telak, qui, de retour sur ses terres d'Ocrepierre, se fait dézinguer. Mais comme son detin n'est pas encore accompli, il reste sur Titan sous la forme d'un spectre, et doit trouver le commanditaire de son assassinat (et a priori son domaine a bien trinqué).
Une gestion intéressante de la mort (vu qu'on l'est déjà) : quand on tombe à 0 END, on va au paragraphe 14100, à la frontière entre la vie et la mort, où l'on a une chance de continuer son aventure (avec le soutien des âmes qui attendent que l'on les venge), mais où on risque aussi de franchir définitivement la porte du royaume des morts... Une mini-aventure dans l'aventure.
Grand format, 440 §, gros prix (une quinzainre d'euros moins quelque centimes).
Une première impression positive : on (dés)incarne un chevalier de Telak, qui, de retour sur ses terres d'Ocrepierre, se fait dézinguer. Mais comme son detin n'est pas encore accompli, il reste sur Titan sous la forme d'un spectre, et doit trouver le commanditaire de son assassinat (et a priori son domaine a bien trinqué).
Une gestion intéressante de la mort (vu qu'on l'est déjà) : quand on tombe à 0 END, on va au paragraphe 14100, à la frontière entre la vie et la mort, où l'on a une chance de continuer son aventure (avec le soutien des âmes qui attendent que l'on les venge), mais où on risque aussi de franchir définitivement la porte du royaume des morts... Une mini-aventure dans l'aventure.
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Vous êtes mort.
Vous êtes mort.
