19/01/2011, 22:36
Bon. Si réussie que soit la saga du Prêtre Jean au niveau de l'ambiance, du souffle, de l'écriture… on reconnaît généralement qu'elle souffre d'un problème de règles. à savoir essentiellement,
- la création du personnage où on détermine le score de Force en lançant 2 dés+6, ce qui fait un écart, hum, important.
- la règle du jugement de Dieu, où un ennemi nous tue automatiquement en tirant double-1.
Suite à ma discussion avec VIC sur l'autre forum, je propose une règle qui devrait arranger les choses SANS toucher aux Ecritures Sacrées. Il s'agit de La règle de la Sauvegarde ( si vous pouviez claquer des cymbales en lisant ça ? merci )
La règle de la Sauvegarde
De même que Dieu nous donne le pouvoir de Conversion, Il nous donne aussi deux Sauvegardes au début de chaque volume. Utiliser une Sauvegarde permet de relancer un jet de dé et de choisir le meilleur des deux.
Les Sauvegardes non utilisées dans un volume peuvent être conservées pour les volumes suivants.
Par ailleurs, si Dieu qui nous les donne pour nous aider dans notre quête, Il peut également nous en rajouter ou nous en enlever selon notre conduite.
Je suggérerais que nous en gagnons une supplémentaire en soignant le lépreux dans La Forteresse d'Alamuth, et une autre en détruisant le temple de Kali dans Les Adorateurs du Mal.
Plus, ce serait transformer le cycle en distribution gratuite.
Pour ce qui est d'en perdre, je pense que quand Dieu nous sanctionne en nous retriant notre pouvoir de Conversion, si nous l'avons déjà utilisé dans ce volume nous devrions perdre une Sauvegarde à la place.
J'hésite s'il conviendrait d'en perdre une si nous laissons Semonafer se faire lyncher dans l'Œil du Sphinx ?
Si nous avons déjà perdu toutes nos Sauvegardes et que nous devrions en perdre une, à notre prochain combat nous subirions le Jugement de Dieu si un ennemi tirait 2 OU 3.
Si nous avons définitivement perdu notre pouvoir de Conversion et que nous tirons la carte de la Balance à Babylone, je suggère que nous gagnions une Sauvegarde mais sans récupérer notre pouvoir.
Je pense que cette règle résoud les problèmes posés par le système.
Par ailleurs, et ans l'intérêt de la simulation historique, je propose également La règle du Fer et du Bronze ( on dirait le titre d'un film de kung-fu, vous ne trouvez pas ? )
La règle du Fer et du Bronze
Cette règle s'applique à l'Œil du Sphinx et aux volumes 6 à 8 si jamais…
Le Prêtre Jean y rencontre en effet des adversaires dont la technologie n'en est qu'au bronze; leurs armes sont donc moins résistantes.
Je suggère donc qu'en cas d'égalité contre un adversaire utilisant une arme de type épée, celle-ci se brise et qu'il subisse les malus de Force d'Attaque habituels ( bon pas la momie de Kharis… les momies maudites sont surpuissantes, tout le monde sait ça… )
Bien entendu, si notre sympathique héros perd son arme et doit la remplacer par une de fabrication locale, il perd cet avantage. ( pour ce qui est de la transition avec Les Mines du Roi Salomon, vu qu'il se procure un cheval sans que ça lui coûte une pièce d'or, il peut bien se procurer une épée en fer aussi… )
- la création du personnage où on détermine le score de Force en lançant 2 dés+6, ce qui fait un écart, hum, important.
- la règle du jugement de Dieu, où un ennemi nous tue automatiquement en tirant double-1.
Suite à ma discussion avec VIC sur l'autre forum, je propose une règle qui devrait arranger les choses SANS toucher aux Ecritures Sacrées. Il s'agit de La règle de la Sauvegarde ( si vous pouviez claquer des cymbales en lisant ça ? merci )
La règle de la Sauvegarde
De même que Dieu nous donne le pouvoir de Conversion, Il nous donne aussi deux Sauvegardes au début de chaque volume. Utiliser une Sauvegarde permet de relancer un jet de dé et de choisir le meilleur des deux.
Les Sauvegardes non utilisées dans un volume peuvent être conservées pour les volumes suivants.
Par ailleurs, si Dieu qui nous les donne pour nous aider dans notre quête, Il peut également nous en rajouter ou nous en enlever selon notre conduite.
Je suggérerais que nous en gagnons une supplémentaire en soignant le lépreux dans La Forteresse d'Alamuth, et une autre en détruisant le temple de Kali dans Les Adorateurs du Mal.
Plus, ce serait transformer le cycle en distribution gratuite.
Pour ce qui est d'en perdre, je pense que quand Dieu nous sanctionne en nous retriant notre pouvoir de Conversion, si nous l'avons déjà utilisé dans ce volume nous devrions perdre une Sauvegarde à la place.
J'hésite s'il conviendrait d'en perdre une si nous laissons Semonafer se faire lyncher dans l'Œil du Sphinx ?
Si nous avons déjà perdu toutes nos Sauvegardes et que nous devrions en perdre une, à notre prochain combat nous subirions le Jugement de Dieu si un ennemi tirait 2 OU 3.
Si nous avons définitivement perdu notre pouvoir de Conversion et que nous tirons la carte de la Balance à Babylone, je suggère que nous gagnions une Sauvegarde mais sans récupérer notre pouvoir.
Je pense que cette règle résoud les problèmes posés par le système.
Par ailleurs, et ans l'intérêt de la simulation historique, je propose également La règle du Fer et du Bronze ( on dirait le titre d'un film de kung-fu, vous ne trouvez pas ? )
La règle du Fer et du Bronze
Cette règle s'applique à l'Œil du Sphinx et aux volumes 6 à 8 si jamais…
Le Prêtre Jean y rencontre en effet des adversaires dont la technologie n'en est qu'au bronze; leurs armes sont donc moins résistantes.
Je suggère donc qu'en cas d'égalité contre un adversaire utilisant une arme de type épée, celle-ci se brise et qu'il subisse les malus de Force d'Attaque habituels ( bon pas la momie de Kharis… les momies maudites sont surpuissantes, tout le monde sait ça… )
Bien entendu, si notre sympathique héros perd son arme et doit la remplacer par une de fabrication locale, il perd cet avantage. ( pour ce qui est de la transition avec Les Mines du Roi Salomon, vu qu'il se procure un cheval sans que ça lui coûte une pièce d'or, il peut bien se procurer une épée en fer aussi… )
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna