08/12/2010, 21:55
(Modification du message : 08/12/2010, 21:55 par ashimbabbar.)
Bon, puisque je prétends en donner la suite ce serait peut-être une idée d'en parler.
Voici ce que j'écrivais ne mai dernier sur l'autre forum
" Sindbad tome 1 et unique: le prince des voleurs publié au livre de poche club en 1987 donc à peu près en même temps que les Adorateurs du Mal. Les auteurs: Doug Headline, Michel Pagel et un certain F. Gordon. Le système est pratiquement identique à celui du Prêtre Jean.
Ce ldvh ne compte que 320 paragraphes ( honte ) découpé en sections précises: le départ ( beaucoup de remplissage mais ça décide combien d’hommes on aura ), la haute mer, l’île du sorcier ( du bourrage de page intensif et pas drôle ) et la mer des larmes avec un joli système de déplacement au gré du vent sur une carte pour explorer les îles; plus la confrontation finale.
Pour les caractéristiques la Dextérité remplace la Force et servira comme l’Habileté dans les Défis Fantastiques. Un point très appréciable: la mort subite au combat a été supprimée.
Le livre peut se vanter d’avoir en guest star le monstre aux stats les plus balèzes des six livres ( LE Kraken, rien que ça ) et le pire boss de fin… mais on va y revenir.
L’histoire est un grand retour aux sources du ldvh où on doit sauver un peuple en tuant le méchant sorcier après avoir retrouvé les fragments du médaillon sacré en explorant trois îles… l’humour des auteurs devient vraiment lourd et foutraque ( le pire gag doit être quand il prétend s’appeler Jèmsdynn… pitié ) Et je te la joue born to be (Sin)bad: menaçant la princesse d’un viol collectif, tourmentant un passager clandestin…
Un système de points force traduit l’état du navire et de l’équipage; on a quelques occasions d’en perdre mais il n’y a que deux combats maximum ( dont un particulièrement dur, et aucun des deux ne sert à rien ).
Le combat final contre le méchant sorcier est extrêmement dur: il inflige des dommages automatiques et il est vraiment difficile à tuer; sans une haute dextérité au départ on est frit. Je ne spoile pas grand-chose en disant qu’en plus c’est un combat à trois et qu’il est presque indispensable que le troisième larron soit de votre côté.
Donc: peu de paragraphes dont trop sont déjà du remplissage, une exploration bête et méchante des sites, un combat final terrorifiant… mis à part pour frimer avec, y a-t-il une bonne raison d’acheter ce livre ?
À mon sens, la réponse est: oui. Il regorge de scènes assez extraordinaires qu’il faut avoir vues: en mer comme l’attaque des poissons volants carnivores ou dans les îles, l’Île de Cristal en particulier. Et le Spectre de la Mer… Elles resteront dans la mémoire du lecteur. En fait ce livre est lisible plus comme un roman que comme un ldvh."
Mon opinion reste essentiellement la même; je me contenterai d'ajouter au niveau de l'ambiance qu'en à peine 320§ Sindbad surpasse le Prêtre Jean dans n'importe laquelle de ses aventures au niveau de ses exploits érotiques… si la princesse échappe à ses attentions, il se retrouve à devoir coucher avec la très grosse et très laide Anesto, puis entretient une relation d'une certaine durée ( pour lui ça doit être beaucoup ) avec la fascinante Darke. Et le final le montre faire la fête avec plusieurs jolies amphibiennes, sans être autrement arrêté par leurs branchies…
À noter qu’on a vraiment peu d’objets magiques dont un qui aurait servi dans la suite s’il y en avait eu une.
Voici ce que j'écrivais ne mai dernier sur l'autre forum
" Sindbad tome 1 et unique: le prince des voleurs publié au livre de poche club en 1987 donc à peu près en même temps que les Adorateurs du Mal. Les auteurs: Doug Headline, Michel Pagel et un certain F. Gordon. Le système est pratiquement identique à celui du Prêtre Jean.
Ce ldvh ne compte que 320 paragraphes ( honte ) découpé en sections précises: le départ ( beaucoup de remplissage mais ça décide combien d’hommes on aura ), la haute mer, l’île du sorcier ( du bourrage de page intensif et pas drôle ) et la mer des larmes avec un joli système de déplacement au gré du vent sur une carte pour explorer les îles; plus la confrontation finale.
Pour les caractéristiques la Dextérité remplace la Force et servira comme l’Habileté dans les Défis Fantastiques. Un point très appréciable: la mort subite au combat a été supprimée.
Le livre peut se vanter d’avoir en guest star le monstre aux stats les plus balèzes des six livres ( LE Kraken, rien que ça ) et le pire boss de fin… mais on va y revenir.
L’histoire est un grand retour aux sources du ldvh où on doit sauver un peuple en tuant le méchant sorcier après avoir retrouvé les fragments du médaillon sacré en explorant trois îles… l’humour des auteurs devient vraiment lourd et foutraque ( le pire gag doit être quand il prétend s’appeler Jèmsdynn… pitié ) Et je te la joue born to be (Sin)bad: menaçant la princesse d’un viol collectif, tourmentant un passager clandestin…
Un système de points force traduit l’état du navire et de l’équipage; on a quelques occasions d’en perdre mais il n’y a que deux combats maximum ( dont un particulièrement dur, et aucun des deux ne sert à rien ).
Le combat final contre le méchant sorcier est extrêmement dur: il inflige des dommages automatiques et il est vraiment difficile à tuer; sans une haute dextérité au départ on est frit. Je ne spoile pas grand-chose en disant qu’en plus c’est un combat à trois et qu’il est presque indispensable que le troisième larron soit de votre côté.
Donc: peu de paragraphes dont trop sont déjà du remplissage, une exploration bête et méchante des sites, un combat final terrorifiant… mis à part pour frimer avec, y a-t-il une bonne raison d’acheter ce livre ?
À mon sens, la réponse est: oui. Il regorge de scènes assez extraordinaires qu’il faut avoir vues: en mer comme l’attaque des poissons volants carnivores ou dans les îles, l’Île de Cristal en particulier. Et le Spectre de la Mer… Elles resteront dans la mémoire du lecteur. En fait ce livre est lisible plus comme un roman que comme un ldvh."
Mon opinion reste essentiellement la même; je me contenterai d'ajouter au niveau de l'ambiance qu'en à peine 320§ Sindbad surpasse le Prêtre Jean dans n'importe laquelle de ses aventures au niveau de ses exploits érotiques… si la princesse échappe à ses attentions, il se retrouve à devoir coucher avec la très grosse et très laide Anesto, puis entretient une relation d'une certaine durée ( pour lui ça doit être beaucoup ) avec la fascinante Darke. Et le final le montre faire la fête avec plusieurs jolies amphibiennes, sans être autrement arrêté par leurs branchies…
À noter qu’on a vraiment peu d’objets magiques dont un qui aurait servi dans la suite s’il y en avait eu une.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna