Le temps me manque et cette aventure mérite beaucoup mieux que les quelques mots que je jette ici. D’autres ont déjà dit l’aspect corseté de cet affrontement épique qui ne demande pourtant qu’à foisonner, à se libérer du carcan étriqué du Mini-Yaz pour révéler sa véritable nature et exprimer tout son potentiel.
Car, on a affaire à un véritable tour de force, autant sur la construction ingénieuse (permettant d’interpréter deux personnages), que sur le système de combat impressionnant et la richesse de l’histoire. Yin Yang mérite qu’on s’y attarde afin d’en prendre la pleine mesure. On ne peut que saluer le travail fourni, que je n’ose imaginer !
Le style est toujours aussi beau, poétique, les personnages fouillés, mélanges équilibrés de forces et de faiblesses, sans manichéisme facile. L’ambiance est remarquablement rendue, dépeinte par touches subtiles.
Un diamant brut pour moi, qu’il faut continuer à façonner, à polir au-delà du cadre du concours. J’y reviendrais c’est évident.
Car, on a affaire à un véritable tour de force, autant sur la construction ingénieuse (permettant d’interpréter deux personnages), que sur le système de combat impressionnant et la richesse de l’histoire. Yin Yang mérite qu’on s’y attarde afin d’en prendre la pleine mesure. On ne peut que saluer le travail fourni, que je n’ose imaginer !
Le style est toujours aussi beau, poétique, les personnages fouillés, mélanges équilibrés de forces et de faiblesses, sans manichéisme facile. L’ambiance est remarquablement rendue, dépeinte par touches subtiles.
Un diamant brut pour moi, qu’il faut continuer à façonner, à polir au-delà du cadre du concours. J’y reviendrais c’est évident.