13/03/2013, 15:55
@sunkmanitu: tu n'es pas obligé d'être intense dès le départ, surtout que dans le cadre d'une saga cela risque de te mener à une escalade vers le grosbillisme. C'est plutôt que tu dois inscrire ton intro dans un cadre plus large, esquisser et amorcer des fils conducteurs à la fois concrets et transcendentaux.
Par exemple, on pourrait rencontrer un personnage important, de confiance, un pillier du camp allié, sur lequel on compte, en qui l'on place nos espoirs, à qui l'on confie des informations, nos plans, à qui on dévoile même nos faiblesses, et celui-ci se révèle un traître, un espion. Lors de l'affrontement, il est plus fort et plus malin, il a vraiment plusieurs coups d'avance sur nous, et seul un évènement externe nous permet d'échapper à l'issue fatale du combat. Cet ennemi en sait désormais long sur nous et sur nos plans, le mal a désormais un avantage, et voici la naissance d'un archi-ennemi que le lecteur s'attend d'avance à retrouver, et contre lequel il va devoir se préparer en redoublant d'efforts, parce qu'il a visiblement un gros retard à combler. Pour dramatiser un peu plus, cet archiennemi peut souiller notre plus bel espoir (tuer l'un des chefs des trois villages après qu'on les a réunis et convaincus par exemple), etc. Dans les tomes suivants, il peut nous mettre en échec plusieurs fois, plusieurs dialogues éthiques troublants peuvent être développés avec lui, histoire que le combat final soit chargé de drame, etc.
@ashimbabbar: si couper un bambou donne plus d'avantages que forger un sabre long, il en découle une ribambelle de questions existentielles pour le héros!
Par exemple, on pourrait rencontrer un personnage important, de confiance, un pillier du camp allié, sur lequel on compte, en qui l'on place nos espoirs, à qui l'on confie des informations, nos plans, à qui on dévoile même nos faiblesses, et celui-ci se révèle un traître, un espion. Lors de l'affrontement, il est plus fort et plus malin, il a vraiment plusieurs coups d'avance sur nous, et seul un évènement externe nous permet d'échapper à l'issue fatale du combat. Cet ennemi en sait désormais long sur nous et sur nos plans, le mal a désormais un avantage, et voici la naissance d'un archi-ennemi que le lecteur s'attend d'avance à retrouver, et contre lequel il va devoir se préparer en redoublant d'efforts, parce qu'il a visiblement un gros retard à combler. Pour dramatiser un peu plus, cet archiennemi peut souiller notre plus bel espoir (tuer l'un des chefs des trois villages après qu'on les a réunis et convaincus par exemple), etc. Dans les tomes suivants, il peut nous mettre en échec plusieurs fois, plusieurs dialogues éthiques troublants peuvent être développés avec lui, histoire que le combat final soit chargé de drame, etc.
@ashimbabbar: si couper un bambou donne plus d'avantages que forger un sabre long, il en découle une ribambelle de questions existentielles pour le héros!