Au départ, la série devait faire 10 tomes, mais Stephan et Gilles Saint-Martin, du fait de la diminution progressive du nombre de ventes à chaque tome (l'erreur a été commise pour A vous de de jouer 1 où les derniers tomes ne se vendaient quasiment pas, ce qui nous a fait du tort au lancement de la 2ème série puisque les libraires n'en voulaient plus), ont décidé de réduire à 7, et je pense qu'il ont raison.
Pour l'absence de liberté, c'est vrai, mais quelque part avec aussi peu de § (de 120 à 160 en général), c'est difficile de ne pas être linéaire si on veut que l'histoire ait un minimum de durée de vie pour une seule lecture. Après, j'ai toujours dit que l'important dans un ldvelh, ce n'était pas la liberté, mais la sensation de liberté donné par le jeu, l'auteur est un illusionniste en ce sens.
Lorsque nous nous sommes rendus au salon du livre à Paris, j'ai passé la majorité de mon temps avec Gilles dans les couloirs à alpaguer tous les groupes d'enfants qui passaient, et lorsque je montrais le plan au dos du livre en leur expliquant que c'était un livre où eux-même décidaient de leur aventure et de leur personnage, un bon nombre ouvraient des yeux ronds d'étonnement, et voulaient absolument acquérir ce livre, et quelques-uns missionnés par le CDI de leur collège pour acheter des ouvrages. Et je me souviens que nous en avions vendus un peu moins de 400 en trois jours là-bas ! C'était le livre de lancement, le prix était très bas, mais quand même, bien expliqué avec les bons mots adaptés aux enfants, il y avait un tilt qui se passait, pas tout le temps mais tout de même, cela les intriguait.
Pour l'absence de liberté, c'est vrai, mais quelque part avec aussi peu de § (de 120 à 160 en général), c'est difficile de ne pas être linéaire si on veut que l'histoire ait un minimum de durée de vie pour une seule lecture. Après, j'ai toujours dit que l'important dans un ldvelh, ce n'était pas la liberté, mais la sensation de liberté donné par le jeu, l'auteur est un illusionniste en ce sens.
Lorsque nous nous sommes rendus au salon du livre à Paris, j'ai passé la majorité de mon temps avec Gilles dans les couloirs à alpaguer tous les groupes d'enfants qui passaient, et lorsque je montrais le plan au dos du livre en leur expliquant que c'était un livre où eux-même décidaient de leur aventure et de leur personnage, un bon nombre ouvraient des yeux ronds d'étonnement, et voulaient absolument acquérir ce livre, et quelques-uns missionnés par le CDI de leur collège pour acheter des ouvrages. Et je me souviens que nous en avions vendus un peu moins de 400 en trois jours là-bas ! C'était le livre de lancement, le prix était très bas, mais quand même, bien expliqué avec les bons mots adaptés aux enfants, il y avait un tilt qui se passait, pas tout le temps mais tout de même, cela les intriguait.