28/04/2025, 22:31
Bon, je vois qu'il n'y a pas foule au portillon. J'ai eu le temps de relire deux trois bricoles, surtout de vérifier les dates et je pense pouvoir assumer le rôle d'assesseur – officiellement, si cela vous va.
Comme Zanbar et moi-même y débutons, cela pourrait être bien qu'un membre ayant déjà taquiné l'assessorat se propose pour former ce triumvirat garant du bon déroulé. Je dis cela, mais les trois premiers du premier concours ont bien dû tout défricher par eux-mêmes ; donc poursuivre sur cette lancée, cela devrait pouvoir se faire...
Trois AVH sont maintenant en lice, ce qui rejoint les déclarations du règlement : « chaque concours peut avoir lieu si 3 (mini-)AVH au minimum concourent », et permet d'affirmer qu'il ne manque plus qu'un ou une assesseuse pour que la machine s'anime de toute sa belle officialité. À votre bon cœur.
J'en profite également pour signaler qu'il ne reste plus ... ou plutôt, que vous avez encore 50 jours tout rond pour proposer votre mini AVH.
Histoire de rappeler la folle liberté d'un thème supposément fermé, un vortex, outre le phénomène météorologique des vents tourbillonnants, peut narrer les déboires et aléas de la rude vie du Vortex viridis, un plathelminthe, ver plat accœlomate sans appendices, souvent hermaphrodite, libre ou parasitaire. J'en palpite d'avance.
Mais cela peut également être une aventure se déroulant dans le Vortex, bâtiment du campus de Lausanne comprenant pas moins de 941 chambres à coucher... Je vous laisse imaginer les aventures.
La réussite du tournage du film Vortex, ou Le visage de la Méduse, est dans la balance. La mise en boîte de ce film grec commence en Crète mais est interrompue par la Dictature des colonels. Le réalisateur s'oppose à la junte : espionnage, thriller, beautés fatales et contre-festival, voire mise en abyme avec le sujet du film... De quoi donner le tournis.
Et n'oublions pas la construction compétitive du Vortex de « Kings Island », montagnes russes avec pas moins de 6 inversions face à la star Viper de « Darien Fun Country », ouvert en 1987. Une histoire à la A-Teams ?
À moins que l'on ne reprenne les plus grandes pages de la science-fiction et les écrits de E. E. Doc Smith, avec Les Maîtres du vortex (1960), dernier tome de la série Fulgur dans lequel « un mystérieux tourbillon, un vortex nucléaire, surgi de nulle part dans les profondeurs de l'infini, ravage tout sur son passage. Et d'innombrables autres menacent les planètes de la Galaxie entière. Seul un homme, Storm Cloud, un génie de la nucléonique, pourrait les détruire. Avec son extraordinaire équipe de parias de l'espace, il se lance sur son vaisseau, le « Vortex Blaster », doté de tout un arsenal ultra-avancé, à la recherche de la source d'où proviennent ces tourbillons dévastateurs... » Vite, une suite !!
Cinquante jours, une éternité. Au plaisir de vous lire.
Comme Zanbar et moi-même y débutons, cela pourrait être bien qu'un membre ayant déjà taquiné l'assessorat se propose pour former ce triumvirat garant du bon déroulé. Je dis cela, mais les trois premiers du premier concours ont bien dû tout défricher par eux-mêmes ; donc poursuivre sur cette lancée, cela devrait pouvoir se faire...
Trois AVH sont maintenant en lice, ce qui rejoint les déclarations du règlement : « chaque concours peut avoir lieu si 3 (mini-)AVH au minimum concourent », et permet d'affirmer qu'il ne manque plus qu'un ou une assesseuse pour que la machine s'anime de toute sa belle officialité. À votre bon cœur.
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J'en profite également pour signaler qu'il ne reste plus ... ou plutôt, que vous avez encore 50 jours tout rond pour proposer votre mini AVH.
Histoire de rappeler la folle liberté d'un thème supposément fermé, un vortex, outre le phénomène météorologique des vents tourbillonnants, peut narrer les déboires et aléas de la rude vie du Vortex viridis, un plathelminthe, ver plat accœlomate sans appendices, souvent hermaphrodite, libre ou parasitaire. J'en palpite d'avance.
Mais cela peut également être une aventure se déroulant dans le Vortex, bâtiment du campus de Lausanne comprenant pas moins de 941 chambres à coucher... Je vous laisse imaginer les aventures.
La réussite du tournage du film Vortex, ou Le visage de la Méduse, est dans la balance. La mise en boîte de ce film grec commence en Crète mais est interrompue par la Dictature des colonels. Le réalisateur s'oppose à la junte : espionnage, thriller, beautés fatales et contre-festival, voire mise en abyme avec le sujet du film... De quoi donner le tournis.
Et n'oublions pas la construction compétitive du Vortex de « Kings Island », montagnes russes avec pas moins de 6 inversions face à la star Viper de « Darien Fun Country », ouvert en 1987. Une histoire à la A-Teams ?
À moins que l'on ne reprenne les plus grandes pages de la science-fiction et les écrits de E. E. Doc Smith, avec Les Maîtres du vortex (1960), dernier tome de la série Fulgur dans lequel « un mystérieux tourbillon, un vortex nucléaire, surgi de nulle part dans les profondeurs de l'infini, ravage tout sur son passage. Et d'innombrables autres menacent les planètes de la Galaxie entière. Seul un homme, Storm Cloud, un génie de la nucléonique, pourrait les détruire. Avec son extraordinaire équipe de parias de l'espace, il se lance sur son vaisseau, le « Vortex Blaster », doté de tout un arsenal ultra-avancé, à la recherche de la source d'où proviennent ces tourbillons dévastateurs... » Vite, une suite !!
Cinquante jours, une éternité. Au plaisir de vous lire.
Goburlicheur de chrastymèles