@Jessica et Ti'Quan
@Tasha
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Spoiler
C'était un test de charisme de niveau 4+ avec 6 succès requis.
Le sergent vous conduit jusqu’à un bureau débordant de paperasse et vous explique : « C’est ici qu’Édouard s’asseyait. Mais il n’est venu ni hier ni aujourd’hui. »
« Et avant cela ? Avait-il l’air inquiet ou préoccupé ? » lui demandez-vous.
« Pas du tout. Le seul élément notable, c’est qu’il me semblait plus détendu et serein qu’à son habitude. Voyez-vous, en temps normal, il est sans cesse tracassé par beaucoup de choses. Sauf que justement la semaine dernière, il était étrangement calme. Il a travaillé tranquillement puis il est parti. » Le sergent a l’air agité et regarde impatiemment autour de lui. « D’autres affaires nécessitent vraiment mon attention, puis-je vous faire confiance pour trouver votre chemin vers la sortie quand vous aurez terminé ? »
« Bien sûr », lui répondez-vous, trop heureux de vous débarrasser de ce sous-officier tatillon. Vous parcourez les documents sur le bureau d’Édouard à la recherche de tout ce qui pourrait ne serait-ce que ressembler à un indice.
Lord Ti'Quan remarque que la calligraphie sur les documents rédigés au cours de la semaine dernière ne correspond pas exactement à celle des documents écrits auparavant, bien qu’elles soient similaires. La ressemblance est troublante. Seulement, les queues des cursives montent un peu trop haut, elles manquent de naturel. L’homme qui est venu travailler pourrait bien avoir été un imposteur.
Pour en avoir le cœur net, vous examinez le contenu du travail que cet imposteur aurait effectué, mais à dire vrai, il n’a rien traité qui soit important ou qui soit de nature suspicieuse. Il s’est contenté d’abattre un travail administratif rébarbatif et dénué d’intérêt pendant une semaine ! Tout cela est bien intrigant…
Vous ne trouverez rien de plus ici.
Vous remarquez cependant que l’un des documents sur lequel travaillait Édouard est un droit de passage pour paysan non accompagné. Ce bout de papier pourrait grandement vous faciliter la tâche pour vous déplacer dans le comté. Si vous le souhaitez, vous pouvez le voler et retourner dehors.
Votre enquête au bureau seigneurial est terminée.
C'était un test de charisme de niveau 4+ avec 6 succès requis.
Le sergent vous conduit jusqu’à un bureau débordant de paperasse et vous explique : « C’est ici qu’Édouard s’asseyait. Mais il n’est venu ni hier ni aujourd’hui. »
« Et avant cela ? Avait-il l’air inquiet ou préoccupé ? » lui demandez-vous.
« Pas du tout. Le seul élément notable, c’est qu’il me semblait plus détendu et serein qu’à son habitude. Voyez-vous, en temps normal, il est sans cesse tracassé par beaucoup de choses. Sauf que justement la semaine dernière, il était étrangement calme. Il a travaillé tranquillement puis il est parti. » Le sergent a l’air agité et regarde impatiemment autour de lui. « D’autres affaires nécessitent vraiment mon attention, puis-je vous faire confiance pour trouver votre chemin vers la sortie quand vous aurez terminé ? »
« Bien sûr », lui répondez-vous, trop heureux de vous débarrasser de ce sous-officier tatillon. Vous parcourez les documents sur le bureau d’Édouard à la recherche de tout ce qui pourrait ne serait-ce que ressembler à un indice.
Lord Ti'Quan remarque que la calligraphie sur les documents rédigés au cours de la semaine dernière ne correspond pas exactement à celle des documents écrits auparavant, bien qu’elles soient similaires. La ressemblance est troublante. Seulement, les queues des cursives montent un peu trop haut, elles manquent de naturel. L’homme qui est venu travailler pourrait bien avoir été un imposteur.
Pour en avoir le cœur net, vous examinez le contenu du travail que cet imposteur aurait effectué, mais à dire vrai, il n’a rien traité qui soit important ou qui soit de nature suspicieuse. Il s’est contenté d’abattre un travail administratif rébarbatif et dénué d’intérêt pendant une semaine ! Tout cela est bien intrigant…
Vous ne trouverez rien de plus ici.
Vous remarquez cependant que l’un des documents sur lequel travaillait Édouard est un droit de passage pour paysan non accompagné. Ce bout de papier pourrait grandement vous faciliter la tâche pour vous déplacer dans le comté. Si vous le souhaitez, vous pouvez le voler et retourner dehors.
Votre enquête au bureau seigneurial est terminée.
@Tasha
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La maîtresse d’Édouard vit dans une jolie maison des faubourgs, juste en face du paisible temple de l’Esprit. Vous doutez qu’Édouard ait été son unique client étant donné la richesse de l’habitation dans laquelle elle vit. Espérant qu’elle ne soit pas en plein rendez-vous, vous frappez à la porte.
Une jeune femme bien habillée et jolie comme un cœur ouvre la porte. En vous voyant, elle sourit à travers ses boucles rousses rebelles. « Bonjour, mon amour. Pourquoi ne rentres-tu pas ? Ne sois pas timide. »
Elle vous prend par la main et vous attire doucement vers l’intérieur. De nombreux tapis et meubles donnent une allure des plus confortables à sa demeure. Il est évident que la jeune femme se débrouille très bien dans la vie, pour dire, elle possède même son propre portrait ! « On m’appelle généralement Rosie », dit-elle en souriant et en vous servant un verre de vin. « Mais si tu préfères m’appeler autrement, ne te gêne surtout pas. »
« C’est très aimable », dites-vous. « Mais je ne suis pas venu ici pour… »
« Tu n’as pas à te sentir embarrassée, mon amour », murmure-t-elle en vous déposant le verre dans la main. « Je suis bien des choses pour beaucoup de monde. Je peux être une amie, une épouse, une amante… tout ce que tu désires. Nous avons tous différents visages pour différentes personnes. »
« Sans aucun doute, vous avez raison », rougissez-vous alors que Rosie vous caresse la joue. « Mais je suis venu ici pour vous demander des nouvelles d’Édouard. »
« Qu’en est-il de lui, bien-aimée ? », demande-t-elle, les lèvres humides.
Il est de plus en plus difficile de vous concentrer sur autre chose que Rosie et vous bafouillez : « Il a disparu et nous essayons de le retrouver. »
« C’est un homme dont le cœur déborde de tristesse », dit-elle en vous attirant vers un canapé. « Sa femme est une brute cruelle. Avec moi, il trouve de la gentillesse et du réconfort. Je cuisine pour lui et je lui dis à quel point je suis fière de lui. Il m’aime et je lui en suis reconnaissante. »
Votre cœur bat la chamade. « Savez-vous… où il aurait pu aller ? »
« Est-ce là vraiment ce dont tu souhaites parler ? », demande-t-elle en glissant sa main le long de votre corps. « Une exploratrice courageuse et couverte de cicatrices n’a-t-elle pas besoin de quelqu’un d’attentionné ? De quelqu’un pour prendre soin de ses besoins ? »
> Tu peux inventer rapidement une excuse et t'en aller.
> Tu peux embrasser Rosie
> Tu peux insister pour qu’elle réponde à ta question
La maîtresse d’Édouard vit dans une jolie maison des faubourgs, juste en face du paisible temple de l’Esprit. Vous doutez qu’Édouard ait été son unique client étant donné la richesse de l’habitation dans laquelle elle vit. Espérant qu’elle ne soit pas en plein rendez-vous, vous frappez à la porte.
Une jeune femme bien habillée et jolie comme un cœur ouvre la porte. En vous voyant, elle sourit à travers ses boucles rousses rebelles. « Bonjour, mon amour. Pourquoi ne rentres-tu pas ? Ne sois pas timide. »
Elle vous prend par la main et vous attire doucement vers l’intérieur. De nombreux tapis et meubles donnent une allure des plus confortables à sa demeure. Il est évident que la jeune femme se débrouille très bien dans la vie, pour dire, elle possède même son propre portrait ! « On m’appelle généralement Rosie », dit-elle en souriant et en vous servant un verre de vin. « Mais si tu préfères m’appeler autrement, ne te gêne surtout pas. »
« C’est très aimable », dites-vous. « Mais je ne suis pas venu ici pour… »
« Tu n’as pas à te sentir embarrassée, mon amour », murmure-t-elle en vous déposant le verre dans la main. « Je suis bien des choses pour beaucoup de monde. Je peux être une amie, une épouse, une amante… tout ce que tu désires. Nous avons tous différents visages pour différentes personnes. »
« Sans aucun doute, vous avez raison », rougissez-vous alors que Rosie vous caresse la joue. « Mais je suis venu ici pour vous demander des nouvelles d’Édouard. »
« Qu’en est-il de lui, bien-aimée ? », demande-t-elle, les lèvres humides.
Il est de plus en plus difficile de vous concentrer sur autre chose que Rosie et vous bafouillez : « Il a disparu et nous essayons de le retrouver. »
« C’est un homme dont le cœur déborde de tristesse », dit-elle en vous attirant vers un canapé. « Sa femme est une brute cruelle. Avec moi, il trouve de la gentillesse et du réconfort. Je cuisine pour lui et je lui dis à quel point je suis fière de lui. Il m’aime et je lui en suis reconnaissante. »
Votre cœur bat la chamade. « Savez-vous… où il aurait pu aller ? »
« Est-ce là vraiment ce dont tu souhaites parler ? », demande-t-elle en glissant sa main le long de votre corps. « Une exploratrice courageuse et couverte de cicatrices n’a-t-elle pas besoin de quelqu’un d’attentionné ? De quelqu’un pour prendre soin de ses besoins ? »
> Tu peux inventer rapidement une excuse et t'en aller.
> Tu peux embrasser Rosie
> Tu peux insister pour qu’elle réponde à ta question