23/04/2024, 16:28
Si on se concentre pour le moment sur les Défis Fantastiques... Alors, je les ai pas relus depuis très longtemps, donc je vais rester assez en surface. Je peux cependant citer :
Waterfield s'était fait une spécialité de truffer ses introductions, règles, premières sections de bonnes idées et de ne pas en faire grand-chose par la suite.
Certes, gynogege s'est déjà pas mal emparé du sujet, développant notamment le thème de l'exploration du rêve elfique des Spectres de l'Angoisse dans son Epreuve des Clans.
Je soupçonne cependant qu'il reste encore matière à creuser, notamment du côté des Sceaux de la Destruction. Par exemple, en faisant quelque chose de ces sceaux dissimulés dans le livre au détour de diverses illustrations, concept fort et n'aboutissant sur absolument rien.
L'idée de base des Sombres Cohortes, à savoir disposer d'un budget limité pour recruter toutes sortes de mercenaires formant une armée hétéroclite à opposer aux troupes étranges du méchant, elle paraît vachement cool.
Livingstone n'en fait rien : on n'est jamais contraint par notre budget, qui on recrute dépend uniquement de par où on est passé, et la bataille finale est une vaste blague qui dépend presque entièrement de la capacité du héros à défaire en combat singulier le général ennemi. Mais ça n'enlève rien à son potentiel.
On pourra éventuellement de regarder du côté de Pêledgathol (dont j'étais persuadé que Salla l'avait traduite, mais apparemment j'ai confondu) pour une œuvre l'exploitant plus près de sa juste valeur, mais avec des imperfections donnant envie de creuser encore plus.
L’Épée du Samouraï a ce système vachement cool où on fait ami-ami avec des créatures magiques durant toute l'aventure, et à la fin elles viennent nous prêter main forte contre les alliés du méchant, en une série de duels où il faut choisir le Pokémon le plus avantagé contre celui de l'ennemi.
Dans ce livre, on est cependant pas mal à l'aveugle sur où se cachent les bestioles et en quoi elles vont bien pouvoir nous être utiles.
Si Gwalchmei itère déjà, plutôt avec succès, sur ce concept dans ses Veilleurs, je dirais que là aussi il reste des pépites dans le filon. Peut-être en allant chercher du côté d'alliés moins nombreux mais plus détaillés ?
Jouer un fantôme capable de posséder des êtres comme dans La Nuit du Nécromancien, lequel a fêté ses douze ans donc ça compte comme vieux, c'est cool et ça pourrait être creusé bien au-delà de ce que propose ce livre, qui se perd un peu trop souvent dans des éléments plus classiques et moins mémorables. Le fait qu'à chaque fois qu'on y "meurt" on entrevoit de plus en plus près un passage sans retour est en revanche toujours aussi génial.
Waterfield s'était fait une spécialité de truffer ses introductions, règles, premières sections de bonnes idées et de ne pas en faire grand-chose par la suite.
Certes, gynogege s'est déjà pas mal emparé du sujet, développant notamment le thème de l'exploration du rêve elfique des Spectres de l'Angoisse dans son Epreuve des Clans.
Je soupçonne cependant qu'il reste encore matière à creuser, notamment du côté des Sceaux de la Destruction. Par exemple, en faisant quelque chose de ces sceaux dissimulés dans le livre au détour de diverses illustrations, concept fort et n'aboutissant sur absolument rien.
L'idée de base des Sombres Cohortes, à savoir disposer d'un budget limité pour recruter toutes sortes de mercenaires formant une armée hétéroclite à opposer aux troupes étranges du méchant, elle paraît vachement cool.
Livingstone n'en fait rien : on n'est jamais contraint par notre budget, qui on recrute dépend uniquement de par où on est passé, et la bataille finale est une vaste blague qui dépend presque entièrement de la capacité du héros à défaire en combat singulier le général ennemi. Mais ça n'enlève rien à son potentiel.
On pourra éventuellement de regarder du côté de Pêledgathol (dont j'étais persuadé que Salla l'avait traduite, mais apparemment j'ai confondu) pour une œuvre l'exploitant plus près de sa juste valeur, mais avec des imperfections donnant envie de creuser encore plus.
L’Épée du Samouraï a ce système vachement cool où on fait ami-ami avec des créatures magiques durant toute l'aventure, et à la fin elles viennent nous prêter main forte contre les alliés du méchant, en une série de duels où il faut choisir le Pokémon le plus avantagé contre celui de l'ennemi.
Dans ce livre, on est cependant pas mal à l'aveugle sur où se cachent les bestioles et en quoi elles vont bien pouvoir nous être utiles.
Si Gwalchmei itère déjà, plutôt avec succès, sur ce concept dans ses Veilleurs, je dirais que là aussi il reste des pépites dans le filon. Peut-être en allant chercher du côté d'alliés moins nombreux mais plus détaillés ?
Jouer un fantôme capable de posséder des êtres comme dans La Nuit du Nécromancien, lequel a fêté ses douze ans donc ça compte comme vieux, c'est cool et ça pourrait être creusé bien au-delà de ce que propose ce livre, qui se perd un peu trop souvent dans des éléments plus classiques et moins mémorables. Le fait qu'à chaque fois qu'on y "meurt" on entrevoit de plus en plus près un passage sans retour est en revanche toujours aussi génial.