Effectivement on peut partir sur des univers et races personnages différents. Mais surtout il y a le manichéisme que tu cites. Que je comprends car Tolkien a subi directement la guerre, et avec toutes les actualités en ce moment on nous vend encore partout le même modèle de super méchants contre super gentils, qu'on accepte en général sans se poser plus de questions que ça. La réalité étant sans aucun doute moins tranchée, et finalement plus dure à vivre et révoltante. Ce serait tellement plus simple s'il y avait simplement des méchants qui sont toujours méchants et des gentils toujours gentils dans le monde...
Mais je signe tout de suite pour une HF avec les standards elfes, nain, etc sans manichéisme. Alors que si on change juste les acteurs pour garder le même schéma bons/méchants, ce n'est pas la peine.
A la décharge de Tolkien, il y a quand même quelques hobbits "mauvais". Et la querelle entre les chefs orques, tant pour la fuite avec Merry et Pippin que dans la tour à la frontière du Mordor, c'est quand même montrer qu'il y a des conflits d'intérêt et une unité globale très fragile, que ce n'est pas une armée marchant ensemble comme un seul homme (ou orque^^). Du coup sans la poigne de fer de Sauron tout se disloque de manière quasi-instantanée.
Par contre désolé pour lui mais je ne vois pas grand-chose à sauver dans la manière dont est construit cet opus de Sir Ian Livingstone (c'est ainsi qu'on doit l'appeler d'après ce que j'ai vu sur le blog de Dave Morris).
Mais je signe tout de suite pour une HF avec les standards elfes, nain, etc sans manichéisme. Alors que si on change juste les acteurs pour garder le même schéma bons/méchants, ce n'est pas la peine.
A la décharge de Tolkien, il y a quand même quelques hobbits "mauvais". Et la querelle entre les chefs orques, tant pour la fuite avec Merry et Pippin que dans la tour à la frontière du Mordor, c'est quand même montrer qu'il y a des conflits d'intérêt et une unité globale très fragile, que ce n'est pas une armée marchant ensemble comme un seul homme (ou orque^^). Du coup sans la poigne de fer de Sauron tout se disloque de manière quasi-instantanée.
Par contre désolé pour lui mais je ne vois pas grand-chose à sauver dans la manière dont est construit cet opus de Sir Ian Livingstone (c'est ainsi qu'on doit l'appeler d'après ce que j'ai vu sur le blog de Dave Morris).