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Vous tenez bon, même face à une vingtaine, voire une trentaine des ces oiseaux de malheur. Ils attaquent en piqué et leurs becs de cuivre claquent dans tous les sens. Tentez un jet de Force ou de Grâce d'une difficulté de 7.
(en l’occurrence, vous choisissez la Grâce +2 plutôt que la Force +1
Résultat du lancer 5+6 c'est un succès)
232 [x]
Vous abattez quatre stryges rapidement sans leur laisser le temps de vous frôler, mais cela ne suffit pas, les oiseaux restent en surnombre. Ceux-là agissent presque toujours en groupe, mais seuls, ils fuient face au danger. La vue des cadavres de leurs compagnons les refroidit, et ils s'en vont en croassant. Ils regagnent le sommet de leur tour en vous toisant, comme pour vous défier de vous approcher.
Vous pouvez ramasser les becs des volatiles morts à vos pieds : ajoutez du cuivre à votre inventaire. (vous ne possédez pas de livre de recettes et ne pouvez pas cuisiner de ragoût de stryge)
Vous regardez ensuite le bâtiment, à vous demander quels trésors ces oiseaux de malheur ont bien pu entasser là telles des pies. Une ouverture au pied de l'édifice, dépourvu de porte à cause du temps, donne à l'intérieur.
Entrer et tenter d'intimider les oiseaux
Essayer de les apaiser en chantant
Reprendre la route