06/02/2023, 14:35
Je suis d'accord avec vous deux.
Il faut des méchants charismatiques, d'autres plus anonymes, du moment qu'on prend du plaisir à lire.
Le principal adversaire d'un livre est réussi, selon moi, quand il a de la personnalité (afin de pouvoir interagir avec le héros), qu'il se démarque (pas forcément par son physique), qu'il a de la présence (pas forcément physique non plus ; on peut juste beaucoup entendre parler de lui sans le voir avant la fin) et qu'il propose une opposition consistante.
Dans Nils Jacket, j'essaie de proposer des adversaires qui répondent à ces critères, même si, le but étant de les démasquer, on interagit avec eux d'abord sous la forme de suspects.
J'essaie aussi de varier leur nature d'une enquête à l'autre : espion, membres de la pègre, gentleman-cambrioleur, braqueurs de banque, revenants...
Il faut des méchants charismatiques, d'autres plus anonymes, du moment qu'on prend du plaisir à lire.
Le principal adversaire d'un livre est réussi, selon moi, quand il a de la personnalité (afin de pouvoir interagir avec le héros), qu'il se démarque (pas forcément par son physique), qu'il a de la présence (pas forcément physique non plus ; on peut juste beaucoup entendre parler de lui sans le voir avant la fin) et qu'il propose une opposition consistante.
Dans Nils Jacket, j'essaie de proposer des adversaires qui répondent à ces critères, même si, le but étant de les démasquer, on interagit avec eux d'abord sous la forme de suspects.
J'essaie aussi de varier leur nature d'une enquête à l'autre : espion, membres de la pègre, gentleman-cambrioleur, braqueurs de banque, revenants...