J'ai vraiment pas réussi à rentrer dans l'aventure.
Bon, le dungeon crawling n'est pas ma tasse de thé dans l'absolu, mais je pense aussi que le format joue beaucoup. S'agissant d'une aventure de facile 150-200 sections (rien qu'en ajoutant les 66 entrées de la table des savoirs, on arrive à 116) compressée en 50, on a des blocs de texte d'une densité extrême, où le lecteur doit écrémer comme il peut pour isoler les éléments s'appliquant à sa situation actuelle entre deux allers-retours vers les règles, sa feuille d'aventure, ou les annexes. Une gymnastique mentale constante et très vite épuisante.
J'ai pas de solution magique à proposer. Faire des aventures papier avec des mécaniques de jeu complexes tout en s'assurant que ça reste fluide, c'est un des plus gros défis de la littérature interactive. J'irais même jusqu'à dire que je suis pas sûr qu'un seul livre ait réussi. En tout cas, il ne me vient aucun nom à l'esprit à chaud.
Donc, euh... Bon courage ? Être le premier à gravir l'Everest, c'est plus dur que d'être le second, mais c'est aussi plus gratifiant.
Bon, le dungeon crawling n'est pas ma tasse de thé dans l'absolu, mais je pense aussi que le format joue beaucoup. S'agissant d'une aventure de facile 150-200 sections (rien qu'en ajoutant les 66 entrées de la table des savoirs, on arrive à 116) compressée en 50, on a des blocs de texte d'une densité extrême, où le lecteur doit écrémer comme il peut pour isoler les éléments s'appliquant à sa situation actuelle entre deux allers-retours vers les règles, sa feuille d'aventure, ou les annexes. Une gymnastique mentale constante et très vite épuisante.
J'ai pas de solution magique à proposer. Faire des aventures papier avec des mécaniques de jeu complexes tout en s'assurant que ça reste fluide, c'est un des plus gros défis de la littérature interactive. J'irais même jusqu'à dire que je suis pas sûr qu'un seul livre ait réussi. En tout cas, il ne me vient aucun nom à l'esprit à chaud.
Donc, euh... Bon courage ? Être le premier à gravir l'Everest, c'est plus dur que d'être le second, mais c'est aussi plus gratifiant.