28/07/2022, 18:22
Pour ce qui est de jouer Boromir, ne pas oublier que "jamais la force ni les bonnes intentions ne durent," Gandalf dixit ( je suis d'accord, il y a des coups de fouet de balrog qui se perdent ) Donc il faudrait jouer avec une limite de temps, temps qui se réduirait d'autant plus qu'on ferait usage de l'Anneau
Jouer un héros qui n'est pas un pur paladin n'a rien d'une nouveauté: rien que Défis Sanglants; il y a cette série d'AVH où on joue un seigneur Drakkarim, celle d'Albatur où on est un petit-cousin Harkonnen, etc, etc.
Mon idée était que dans le schéma normal d'un LDVH/AVH, le HÉROS a l'initiative et parvient à ses fins en surmontant une succession d'obstacles; même quand ceux-ci échouent à le tuer ils peuvent l'affaiblir ou le retarder, bref compliquer d'une manière ou d'une autre sa tâche en face des obstacles suivants.
Mais chaque obstacle franchi le rapproche du but.
D'où le concept de jouer celui qui dirige ces obstacles - le balrog de la Moria est un exemple comme un autre ( encore que les premières mesures défensives soient prises par les capitaines orcs de base ) - afin d'essayer d'arrêter la menace qui avance inexorablement ou au moins de l'affaiblir assez pour l'arrêter au prochain obstacle… ou au prochain…
À première vue, ce qui marcherait le mieux dans le genre "menace qui avance inexorablement" serait une armée d'invasion nettement supérieure et nombre et/ou en qualité, vu qu'il faudrait gérer non seulement les paramètres militaires mais de moral ( le bon peuple n'appréciera peut-être pas d'abandonner ses fermes pendant que notre armée bat courageusement en retraite ), de diplomatie etc ( dans le genre méd-fan: engager des mercenaires très chers à la loyauté douteuse ? des elfes qui exigent en retour de reboiser la moitié du royaume ? réveiller les mort-vivants au risque de ne pas les contrôler ? etc, etc, etc )
Jouer un héros qui n'est pas un pur paladin n'a rien d'une nouveauté: rien que Défis Sanglants; il y a cette série d'AVH où on joue un seigneur Drakkarim, celle d'Albatur où on est un petit-cousin Harkonnen, etc, etc.
Mon idée était que dans le schéma normal d'un LDVH/AVH, le HÉROS a l'initiative et parvient à ses fins en surmontant une succession d'obstacles; même quand ceux-ci échouent à le tuer ils peuvent l'affaiblir ou le retarder, bref compliquer d'une manière ou d'une autre sa tâche en face des obstacles suivants.
Mais chaque obstacle franchi le rapproche du but.
D'où le concept de jouer celui qui dirige ces obstacles - le balrog de la Moria est un exemple comme un autre ( encore que les premières mesures défensives soient prises par les capitaines orcs de base ) - afin d'essayer d'arrêter la menace qui avance inexorablement ou au moins de l'affaiblir assez pour l'arrêter au prochain obstacle… ou au prochain…
À première vue, ce qui marcherait le mieux dans le genre "menace qui avance inexorablement" serait une armée d'invasion nettement supérieure et nombre et/ou en qualité, vu qu'il faudrait gérer non seulement les paramètres militaires mais de moral ( le bon peuple n'appréciera peut-être pas d'abandonner ses fermes pendant que notre armée bat courageusement en retraite ), de diplomatie etc ( dans le genre méd-fan: engager des mercenaires très chers à la loyauté douteuse ? des elfes qui exigent en retour de reboiser la moitié du royaume ? réveiller les mort-vivants au risque de ne pas les contrôler ? etc, etc, etc )
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna