19/06/2022, 15:56
Je n'écris ni ne lis assez pour avoir un avis avisé sur la question.
Mais comme j'aime bien l'ouvrir, voici mon opinion
Je pense qu'une AVH est un monde "ouvert" délimité par l'auteur.
Aussi, le lecteur trace son chemin et, éventuellement, le refait autrement pour arpenter quelques sentiers curieux.
Ainsi, il n'y a pas "La fin", si ce n'est celle de la temporalité de l'histoire, il y a au moins "Une" fin, celle de la résolution complète de l'histoire.
Autrement dit, si à la fin, le méchant meurt, cela ne signifie pas qu'il n'y a qu'une seule fin.
Il peut y en avoir une dizaine où, selon les chemins du lecteur, ces fins varieront en intensité, en compréhension, en émotion, sur ce même événement final.
Donc, je pense que la notion de "Fin" dans une AVH devrait poser systématiquement la question "la fin de quoi ? "
Ma réponse : la fin de la curiosité du lecteur
Et donc, soit il y a une fin "Achèvement" où le lecteur, par sa trace, a tout compris (ce qui ramène à une structure de la narration plus linéaire)
soit, il n'y a pas de chemin ultime, auquel cas il faut nécessairement rejouer pour comprendre.
Mais ceci n'est qu'un point de vue "narratif", car si on ajoute une couche "ludique", alors la fin peut être associée à un score, et cela change pas mal d'aspects: Le livre devient un jeux.
Je termine juste par une notion que j'affectionne par ce qu'elle sous-entend : donner un nom aux différentes fins , comme Loi-kymar le fait dans un "jour sans fondement" , et plus globalement, peut-être, l'idée des "succès" de Steam, la gratification finale d'avoir fait des choix périlleux ou d'avoir eu un comportement particulier.
j'en viens même à penser que cela devrait peut-être être systématique et les noms des fins annoncés en avant-propos, au moins les majeures.
Donc, pour répondre, je pense une Fin de l'histoire, mais des Fins avec des angles d'interprétation/compréhension différents.
Mais comme j'aime bien l'ouvrir, voici mon opinion
Je pense qu'une AVH est un monde "ouvert" délimité par l'auteur.
Aussi, le lecteur trace son chemin et, éventuellement, le refait autrement pour arpenter quelques sentiers curieux.
Ainsi, il n'y a pas "La fin", si ce n'est celle de la temporalité de l'histoire, il y a au moins "Une" fin, celle de la résolution complète de l'histoire.
Autrement dit, si à la fin, le méchant meurt, cela ne signifie pas qu'il n'y a qu'une seule fin.
Il peut y en avoir une dizaine où, selon les chemins du lecteur, ces fins varieront en intensité, en compréhension, en émotion, sur ce même événement final.
Donc, je pense que la notion de "Fin" dans une AVH devrait poser systématiquement la question "la fin de quoi ? "
Ma réponse : la fin de la curiosité du lecteur
Et donc, soit il y a une fin "Achèvement" où le lecteur, par sa trace, a tout compris (ce qui ramène à une structure de la narration plus linéaire)
soit, il n'y a pas de chemin ultime, auquel cas il faut nécessairement rejouer pour comprendre.
Mais ceci n'est qu'un point de vue "narratif", car si on ajoute une couche "ludique", alors la fin peut être associée à un score, et cela change pas mal d'aspects: Le livre devient un jeux.
Je termine juste par une notion que j'affectionne par ce qu'elle sous-entend : donner un nom aux différentes fins , comme Loi-kymar le fait dans un "jour sans fondement" , et plus globalement, peut-être, l'idée des "succès" de Steam, la gratification finale d'avoir fait des choix périlleux ou d'avoir eu un comportement particulier.
j'en viens même à penser que cela devrait peut-être être systématique et les noms des fins annoncés en avant-propos, au moins les majeures.
Donc, pour répondre, je pense une Fin de l'histoire, mais des Fins avec des angles d'interprétation/compréhension différents.
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