Merci Fitz pour ton retour et la justesse de ton analyse sur, notamment, mon intention sur cette AVH !
Pour le début, on m'a déjà fait la remarque, donc je ne peux que confirmer les trop grandes paraboles qui peuvent perdre le lecteur quant au véritable but à poursuivre.
C'est exactement ça pour la fameuse "dualité" que tu évoques. Au départ, je voulais pousser encore plus loin cet aspect, en décrivant des scènes, où, rongé par la fièvre, le héros ne sait plus trop où il se trouve, s'il délire ou pas, jusqu'à ignorer même s'il est encore vivant... J'avais imaginé des sauts de temporalité, avec des moments d'absence ou des inversions chronologiques. D'où aussi ce rythme haché avec un héros parfois lucide et d'autre fois en proie à une sorte de torpeur qui exacerbe sa conscience, le fait réfléchir sur son existence et l'extirpe de la réalité de cette énième mission, de cette énième bataille. Mais d'accord avec toi, déjà que l'ensemble parait déjà assez conceptuel, je me serai vraiment trop éloigné d'une AVH proprement dite (c'est peut-être déjà le cas).
Je ne sais plus à qui je l'ai avoué, mais ça sera ma dernière participation au mini-YAZ (en tant qu'auteur), donc j'ai commis cette AVH sans autre ambition que de me faire plaisir, dans l'écriture ! Je suis allé au bout de ce que je voulais faire pour la première fois et n'ai pas trop de regrets comme c'est habituellement le cas. A un moment, il faut accepter de se dire "Voilà, c'est ce que je peux faire de mieux avec les moyens dont je dispose. Ce n'est surement pas ce que j'ambitionnais à mes débuts, ni la grande œuvre rêvée, mais ce n'est pas grave. C'est effrayant quand on y pense mais il faut juste l'accepter "
Et ça ne fait pas longtemps que j'écris avec cet état d'esprit qui vaut pour moi toutes les thérapies du monde ! Je me mets donc beaucoup moins la pression.
Je ne pensais pas l'aventure aussi linéaire, en proposant plusieurs passages ou péripéties, mais là encore, on retombe dans les débats sur la construction d'une mini-AVH.
Si ça t'as fait penser à du Jarowski, j'en suis plus qu'honoré, mais comme dirait Wayne dans dans Wayne's World "On n'est pas dignes" J'ai trop d'admiration pour cet auteur pour qu'on compare mes brouillons aux chefs d’œuvres qu'il a écrit.
Merci encore Manu, tu m'as bien décrypté
Pour le début, on m'a déjà fait la remarque, donc je ne peux que confirmer les trop grandes paraboles qui peuvent perdre le lecteur quant au véritable but à poursuivre.
C'est exactement ça pour la fameuse "dualité" que tu évoques. Au départ, je voulais pousser encore plus loin cet aspect, en décrivant des scènes, où, rongé par la fièvre, le héros ne sait plus trop où il se trouve, s'il délire ou pas, jusqu'à ignorer même s'il est encore vivant... J'avais imaginé des sauts de temporalité, avec des moments d'absence ou des inversions chronologiques. D'où aussi ce rythme haché avec un héros parfois lucide et d'autre fois en proie à une sorte de torpeur qui exacerbe sa conscience, le fait réfléchir sur son existence et l'extirpe de la réalité de cette énième mission, de cette énième bataille. Mais d'accord avec toi, déjà que l'ensemble parait déjà assez conceptuel, je me serai vraiment trop éloigné d'une AVH proprement dite (c'est peut-être déjà le cas).
Je ne sais plus à qui je l'ai avoué, mais ça sera ma dernière participation au mini-YAZ (en tant qu'auteur), donc j'ai commis cette AVH sans autre ambition que de me faire plaisir, dans l'écriture ! Je suis allé au bout de ce que je voulais faire pour la première fois et n'ai pas trop de regrets comme c'est habituellement le cas. A un moment, il faut accepter de se dire "Voilà, c'est ce que je peux faire de mieux avec les moyens dont je dispose. Ce n'est surement pas ce que j'ambitionnais à mes débuts, ni la grande œuvre rêvée, mais ce n'est pas grave. C'est effrayant quand on y pense mais il faut juste l'accepter "
Et ça ne fait pas longtemps que j'écris avec cet état d'esprit qui vaut pour moi toutes les thérapies du monde ! Je me mets donc beaucoup moins la pression.
Je ne pensais pas l'aventure aussi linéaire, en proposant plusieurs passages ou péripéties, mais là encore, on retombe dans les débats sur la construction d'une mini-AVH.
Si ça t'as fait penser à du Jarowski, j'en suis plus qu'honoré, mais comme dirait Wayne dans dans Wayne's World "On n'est pas dignes" J'ai trop d'admiration pour cet auteur pour qu'on compare mes brouillons aux chefs d’œuvres qu'il a écrit.
Merci encore Manu, tu m'as bien décrypté