Ça + le cas des étranges livres-jeu "L'Oeil Noir" dont les paragraphes tiennent souvent en deux phrases, et qui comme les livres de Vernon misent plus sur des plans précis que sur des illus de haute qualité : j'émets la supposition que dans les années 80, il y a eu un malentendu chez des MJ rôlistes sur ce qui fait un bon livre-jeu.
Peut-être l'habitude des MJ de se réduire à des descriptions orales très courtes, et de voir des scénarios très banals sublimés par l'ambiance de groupe, la complicité et l'enthousiasme des joueurs...
Dans les deux cas (Vernon et Oeil Noir) on voit aussi la présence de règles très chiadées, très rôlistiques, là où un appareil légèrement plus simple pouvait suffire.
Ma conclusion : ce qui fait une bonne partie de JDR ne fait pas automatiquement un bon livre-jeu et inversement (imaginez une partie de JDR avec longs textes mis en voix, choix fermés, personnage imposé, règles peu fines, etc.).
Peut-être l'habitude des MJ de se réduire à des descriptions orales très courtes, et de voir des scénarios très banals sublimés par l'ambiance de groupe, la complicité et l'enthousiasme des joueurs...
Dans les deux cas (Vernon et Oeil Noir) on voit aussi la présence de règles très chiadées, très rôlistiques, là où un appareil légèrement plus simple pouvait suffire.
Ma conclusion : ce qui fait une bonne partie de JDR ne fait pas automatiquement un bon livre-jeu et inversement (imaginez une partie de JDR avec longs textes mis en voix, choix fermés, personnage imposé, règles peu fines, etc.).