24/05/2021, 11:26
(Modification du message : 24/05/2021, 11:29 par Voyageur Solitaire.)
Je suis d'accord avec ta dernière remarque, ne pas tout dévoiler est essentiel, surtout pour un personnage de premier plan.
Pour en revenir à Olmec par exemple, on peut apprendre, si on suit un certain chemin, que des rumeurs insistantes le rendent responsable de la mort de son frère aîné et prédécesseur, ce qui pourrait expliquer également son caractère ou ses troubles. Mais ce n'est évoqué qu'une fois et le lecteur, même informé, n'en aura pas confirmation.
Après, pour en revenir au sujet principal, on va dire que je me soigne... J'arrive quand-même avec le temps à mettre le holà, surtout lors de la relecture finale et à rester sur cette relecture sans tout reprendre. C'est pas évident, mais j'y arrive, mieux qu'avant en tous cas. Le côté matériel, temporel, joue beaucoup aussi : j'ai plein d'idées en tête, de projets d'AVH et si je veux en écrire ne serait-ce qu'une partie, je ne peux pas me permettre de perdre des semaines à réécrire 10 fois la même AVH alors qu'elle est terminée.
L'autre risque de cette insatisfaction, c'est de s'enfermer dans une AVH. C'est ce qui m'est arrivé avec Le rire de Gorulga où à force de réécriture, j'en suis venu à m'enfermer dans cette histoire, à y stagner, à en être prisonnier. Sans vouloir employer les grands mots, quand j'ai enfin admis qu'elle était terminée et que je ne la retoucherai plus, ça a été comme une libération, un poids en moins : je peux tourner la page, passer à autre chose.
Pour en revenir à Olmec par exemple, on peut apprendre, si on suit un certain chemin, que des rumeurs insistantes le rendent responsable de la mort de son frère aîné et prédécesseur, ce qui pourrait expliquer également son caractère ou ses troubles. Mais ce n'est évoqué qu'une fois et le lecteur, même informé, n'en aura pas confirmation.
Après, pour en revenir au sujet principal, on va dire que je me soigne... J'arrive quand-même avec le temps à mettre le holà, surtout lors de la relecture finale et à rester sur cette relecture sans tout reprendre. C'est pas évident, mais j'y arrive, mieux qu'avant en tous cas. Le côté matériel, temporel, joue beaucoup aussi : j'ai plein d'idées en tête, de projets d'AVH et si je veux en écrire ne serait-ce qu'une partie, je ne peux pas me permettre de perdre des semaines à réécrire 10 fois la même AVH alors qu'elle est terminée.
L'autre risque de cette insatisfaction, c'est de s'enfermer dans une AVH. C'est ce qui m'est arrivé avec Le rire de Gorulga où à force de réécriture, j'en suis venu à m'enfermer dans cette histoire, à y stagner, à en être prisonnier. Sans vouloir employer les grands mots, quand j'ai enfin admis qu'elle était terminée et que je ne la retoucherai plus, ça a été comme une libération, un poids en moins : je peux tourner la page, passer à autre chose.
Anywhere out of the world