11/02/2021, 16:47
(Modification du message : 11/02/2021, 16:50 par Voyageur Solitaire.)
Je suis content que ces deux AVH t'aient plu et j'espère que le dernier tome de cette trilogie (il arrive) te plaira également.
Suite à tes remarques, je dirais que Les Tambours de Shamanka est celui où le lecteur n'a longtemps aucune idée de ce qui va se passer : il débarque dans un monde inconnu et décide de se réfugier dans cette ville dont il ne sait rien. Et pendant une bonne partie de l'histoire, je dirais qu'il navigue à vue, ne sachant pas trop ce qui va se passer (même si on se doute que tout ça va mal finir...)
Alshaya est plus dirigiste : on se doute bien qu'après avoir été empoisonné, on va se voir offrir une chance de s'en sortir, qu'on aura la possibilité de trouver un remède, un guérisseur. J'ai compensé en laissant au lecteur le choix de se venger ou pas, une fois guéri.
Pour revenir aux LDVH, il y a effectivement un autre enjeu, plus rare : se connaître soi-même. La créature du chaos où, si je me souviens bien, au début, on ignore même qui on est et ce qu'on fait là.
Du côté "l'enjeu ne se voit pas tout de suite", je pense au Manoir de l'Enfer : on vadrouille un petit moment quand-même dans le manoir, sans trop comprendre ce qui s'y passe, avant de réaliser qu'on doit vraiment foutre le camp si on veut rester vivant. Et encore, la véritable nature du manoir et de ses habitants n'est jamais vraiment explicitée. Probablement une secte d'adorateurs du démon qui s'y retrouvent pour une cérémonie particulière mais ça n'est jamais vraiment affirmé au lecteur. Et là pour moi, on est dans le moyen : on laisse planer le doute, "on suppose que" mais on n'est jamais vraiment sûr.
Suite à tes remarques, je dirais que Les Tambours de Shamanka est celui où le lecteur n'a longtemps aucune idée de ce qui va se passer : il débarque dans un monde inconnu et décide de se réfugier dans cette ville dont il ne sait rien. Et pendant une bonne partie de l'histoire, je dirais qu'il navigue à vue, ne sachant pas trop ce qui va se passer (même si on se doute que tout ça va mal finir...)
Alshaya est plus dirigiste : on se doute bien qu'après avoir été empoisonné, on va se voir offrir une chance de s'en sortir, qu'on aura la possibilité de trouver un remède, un guérisseur. J'ai compensé en laissant au lecteur le choix de se venger ou pas, une fois guéri.
Pour revenir aux LDVH, il y a effectivement un autre enjeu, plus rare : se connaître soi-même. La créature du chaos où, si je me souviens bien, au début, on ignore même qui on est et ce qu'on fait là.
Du côté "l'enjeu ne se voit pas tout de suite", je pense au Manoir de l'Enfer : on vadrouille un petit moment quand-même dans le manoir, sans trop comprendre ce qui s'y passe, avant de réaliser qu'on doit vraiment foutre le camp si on veut rester vivant. Et encore, la véritable nature du manoir et de ses habitants n'est jamais vraiment explicitée. Probablement une secte d'adorateurs du démon qui s'y retrouvent pour une cérémonie particulière mais ça n'est jamais vraiment affirmé au lecteur. Et là pour moi, on est dans le moyen : on laisse planer le doute, "on suppose que" mais on n'est jamais vraiment sûr.
Anywhere out of the world