31/08/2006, 18:21
Voilà une petite histoire sympathique de fantastique écrit par Daniel Keyes. Dans le roman "L'Empire des Anges" de Werber, l'écrivain Jacques Nemrod rencontre une femme qui lit ce petit bouquin.
Charlie Gordon est un handicapé mental. Depuis qu'il est né, il est persuadé que les gens veulent du bien autour de lui, famille comme collègues. Il accepte avec enthousiasme une expérience "pour être plus intelligent". Rapidement, les résultats se font voir, mais les progrès trop rapides de Charlie l'empêchent de bien communiquer, en particulier avec les médecins qui le suivent et la psychologue qu'il aime secrètement. Rapidement, il se retrouve de l'autre côté de la barrière, "trop intelligent", et comprend que l'amour et l'amitié qu'il portait à ses proches n'étaient pas réciproque.
Au niveau de la forme, le livre est original puisqu'il commence avant l'injection. Le livre, écrit sous forme de journal et de compte-rendus, prend compte des progrès de Charlie qui écrit d'abord très mal (un peu comme les adolescents et leur langage SMS !), et s'améliore de pages en pages. Le livre est très court et il ne semble pas il y avoir de temps mort, et la fin n'est pas décevante bien qu'extrêmement triste. Un excellent cross-over entre le fond et la forme, parsemée d'une réelle pensée triste sur l'intelligence et l'innocence des gens qui ne la maîtrisent pas.
Charlie Gordon est un handicapé mental. Depuis qu'il est né, il est persuadé que les gens veulent du bien autour de lui, famille comme collègues. Il accepte avec enthousiasme une expérience "pour être plus intelligent". Rapidement, les résultats se font voir, mais les progrès trop rapides de Charlie l'empêchent de bien communiquer, en particulier avec les médecins qui le suivent et la psychologue qu'il aime secrètement. Rapidement, il se retrouve de l'autre côté de la barrière, "trop intelligent", et comprend que l'amour et l'amitié qu'il portait à ses proches n'étaient pas réciproque.
Au niveau de la forme, le livre est original puisqu'il commence avant l'injection. Le livre, écrit sous forme de journal et de compte-rendus, prend compte des progrès de Charlie qui écrit d'abord très mal (un peu comme les adolescents et leur langage SMS !), et s'améliore de pages en pages. Le livre est très court et il ne semble pas il y avoir de temps mort, et la fin n'est pas décevante bien qu'extrêmement triste. Un excellent cross-over entre le fond et la forme, parsemée d'une réelle pensée triste sur l'intelligence et l'innocence des gens qui ne la maîtrisent pas.
Il ne faut pas attendre d'être heureux pour sourire... il faut sourire pour être heureux.