Si on devait attendre d'avoir des livres parfaits pour les imprimer, on publierait jamais rien de toute façon.
Je suis un peu curieux de connaître le processus de validation du jeu chez Posidonia cependant.
Chez l'éditeur spécialisé bulgare (dont le site ne va, pas de bol, pas bien aujourd'hui, et dont je ne m'avancerai pas à tenter de prononcer le nom), l'analyse était carrée à l'extrême. Ils vérifiaient tous les chemins, s'assuraient que toutes les interactions étaient bien gérées, que rien n'était oublié ou inutile. Pour Y, je me souviens ainsi de quelques remarques très justes sur des cas particulièrement tordus qui m'avaient franchement impressionnées.
J'ai toutefois l'impression qu'en général, même chez les « gros » éditeurs ou les ultra-spécialisés, la pratique est plutôt de faire quelques parties-tests pour avoir une impression générale de l'aventure, suivie d'une relecture, stylistique et orthographique, extensive et intensive, dans l'ordre des numéros. Autrement dit, l'ouvrage est travaillé surtout comme un livre, peu comme un jeu.
Je suis un peu curieux de connaître le processus de validation du jeu chez Posidonia cependant.
Chez l'éditeur spécialisé bulgare (dont le site ne va, pas de bol, pas bien aujourd'hui, et dont je ne m'avancerai pas à tenter de prononcer le nom), l'analyse était carrée à l'extrême. Ils vérifiaient tous les chemins, s'assuraient que toutes les interactions étaient bien gérées, que rien n'était oublié ou inutile. Pour Y, je me souviens ainsi de quelques remarques très justes sur des cas particulièrement tordus qui m'avaient franchement impressionnées.
J'ai toutefois l'impression qu'en général, même chez les « gros » éditeurs ou les ultra-spécialisés, la pratique est plutôt de faire quelques parties-tests pour avoir une impression générale de l'aventure, suivie d'une relecture, stylistique et orthographique, extensive et intensive, dans l'ordre des numéros. Autrement dit, l'ouvrage est travaillé surtout comme un livre, peu comme un jeu.