25/08/2019, 11:50
(Modification du message : 25/08/2019, 11:57 par Voyageur Solitaire.)
Merci Jehan pour ce premier retour !
Bon, vous le savez maintenant, les règles de combat, c'est pas mon fort… Je vais me plonger sur ce que tu m'as signalé, cette différence dans les deux combats de groupes, entre celui du Gardien des ossements et celui contre la plante Ayath. Il serait bon que les règles soient les mêmes pour les deux effectivement. A vérifier également le combat de groupe au monastère d'Abombi, entre nous et Auro et sa bande. Sinon, pour ce deuxième opus, par rapport au premier, j'ai principalement baissé les caractéristiques de nos ennemis et rajouté des moyens de retrouver des points de vie. Tout cela sera soigneusement remis à plat pour la version finale qui paraîtra en bouquin.
Bien vu pour la nécropole : effectivement, tout aventurier normalement prudent se doutera qu'il y a un ennemi potentiel derrière la porte (surtout si Taïta a réussi à déchiffrer les glyphes à l'étage au-dessus, bien que même dans ce cas, on puisse négliger sa mise en garde et quand-même demander à Enoshk d'enfoncer la porte). Mais il est vrai aussi que tout aventurier normalement prudent se dira qu'il vaudrait mieux prendre les devants et s'assurer que l'on pourra dormir tranquille sans être surpris dans son sommeil...
Si l'on est seul un bon moment au début, nos trois compagnons sont obligatoires, que ce soit Suarra la panthère noire, Taïta le scribe pygmée ou Enoshk, le géant des collines venu du nord lointain. Il y a plusieurs manières de les rencontrer, on peut même refuser l'aide de Taïta dans un premier temps, mais on termine l'aventure avec eux. J'ai essayé (avec réussite d'après ton retour) de bien marquer le caractère de chacun, opposant principalement Taïta, érudit et cultivé à Enoshk, plus flegmatique et instinctif, qui se pose moins de questions. Il y a aussi le contraste physique entre le pygmée et le géant.
Effectivement, en trouvant la mort à l'oasis, tu étais tout près d'Eshatta. Reste ensuite à savoir s'il te restait assez de doses de potion pour contrer le poison qui te ronge. Et, petit spoiler, l'arrivée à Eshatta et la guérison ne signifient pas forcément la fin de l'aventure, je n'en dis pas plus...
Tu as bien fait d'éviter la vallée blanche, l'ami Outremer en sait quelque chose d'après son retour...
Merci et bonne continuation à toi.
Bon, vous le savez maintenant, les règles de combat, c'est pas mon fort… Je vais me plonger sur ce que tu m'as signalé, cette différence dans les deux combats de groupes, entre celui du Gardien des ossements et celui contre la plante Ayath. Il serait bon que les règles soient les mêmes pour les deux effectivement. A vérifier également le combat de groupe au monastère d'Abombi, entre nous et Auro et sa bande. Sinon, pour ce deuxième opus, par rapport au premier, j'ai principalement baissé les caractéristiques de nos ennemis et rajouté des moyens de retrouver des points de vie. Tout cela sera soigneusement remis à plat pour la version finale qui paraîtra en bouquin.
Bien vu pour la nécropole : effectivement, tout aventurier normalement prudent se doutera qu'il y a un ennemi potentiel derrière la porte (surtout si Taïta a réussi à déchiffrer les glyphes à l'étage au-dessus, bien que même dans ce cas, on puisse négliger sa mise en garde et quand-même demander à Enoshk d'enfoncer la porte). Mais il est vrai aussi que tout aventurier normalement prudent se dira qu'il vaudrait mieux prendre les devants et s'assurer que l'on pourra dormir tranquille sans être surpris dans son sommeil...
Si l'on est seul un bon moment au début, nos trois compagnons sont obligatoires, que ce soit Suarra la panthère noire, Taïta le scribe pygmée ou Enoshk, le géant des collines venu du nord lointain. Il y a plusieurs manières de les rencontrer, on peut même refuser l'aide de Taïta dans un premier temps, mais on termine l'aventure avec eux. J'ai essayé (avec réussite d'après ton retour) de bien marquer le caractère de chacun, opposant principalement Taïta, érudit et cultivé à Enoshk, plus flegmatique et instinctif, qui se pose moins de questions. Il y a aussi le contraste physique entre le pygmée et le géant.
Effectivement, en trouvant la mort à l'oasis, tu étais tout près d'Eshatta. Reste ensuite à savoir s'il te restait assez de doses de potion pour contrer le poison qui te ronge. Et, petit spoiler, l'arrivée à Eshatta et la guérison ne signifient pas forcément la fin de l'aventure, je n'en dis pas plus...
Tu as bien fait d'éviter la vallée blanche, l'ami Outremer en sait quelque chose d'après son retour...
Merci et bonne continuation à toi.
Anywhere out of the world