Hé hé, je vois que tu es un fin connaisseur !
Pour les autres (ceux qui ont plus de 18 ans bien sûr !), je suis d'humeur badine, alors je ne resiste pas au plaisir de vous le recopier.
L'IDOLE
Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
A travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C'est l'olive pâmée, et la flute câline;
C'est le tube où descend la celeste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
P.V (quatrains) et A.R (tercets)
Pour les autres (ceux qui ont plus de 18 ans bien sûr !), je suis d'humeur badine, alors je ne resiste pas au plaisir de vous le recopier.
L'IDOLE
Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
A travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C'est l'olive pâmée, et la flute câline;
C'est le tube où descend la celeste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
P.V (quatrains) et A.R (tercets)