04/04/2018, 20:39
Pharéole tire le Hatuli de son havresac et lui ordonne de trouver l'Epée de Légende. Le mannequin saute aussitôt à terre et, avec une vélocité surprenante, court jusqu'à la margelle du puits. Vous vous approchez et jetez un coup d'oeil à ce qui se trouve en-dessous. Le puits est sombre comme une tombe, mais il semble sec. Vous y descendez.
Au bas du puits règne toujours la froideur de la nuit, bien que le soleil ne soit plus qu'à quelques minutes de son lever. La pièce est humide, mais il n'y a pas d'eau, en-dehors d'une flaque boueuse devant vous.
Trois tunnels s'ouvrent dans le mur du sud. De celui de droite vous parvient le bruit régulier de gouttes d'eau heurtant le sol. Les deux autres sont silencieux.
Vous vous fabriquez des torches à l'aide des morceaux de bois sec que vous trouvez sur les dalles de pierre brisées. Leurs flammes crépitantes fournissent une lumière vacillante, mais elles feront l'affaire. L'éclat soudain alarme un serpent, que vous voyez s'enfuir par le tunnel de gauche.
Vous jetez un dernier coup d'oeil au ciel au-dessus de vous, qui est en train de prendre la couleur de l'azur.
Le Hatuli se dirige vers le tunnel de gauche
*
Vous vous avancez prudemment le long du tunnel, à la suite du Hatuli. La clarté grandissante qui filtre depuis le haut du puit ne tarde pas à s'estomper derrière vous. Vous atteignez bientôt une pièce circulaire en brique.
Peinte sur une bande de pierre, une frise élaborée fait le tour de la salle. Elle représente une haute figure métallique portant un heaume à trois pointes. À un endroit, elle est représentée attaquant de minuscules personnages humains et les balayant comme des fêtus avec sa masse d'arme. À un autre, elle détruit des temples, n'en laissant que des débris. Vous ne remarquez qu'un seul endroit où elle s'incline devant des hommes mortels : la scène représente un groupe de prêtres aux bras levés, leurs mains pressées l'une contre l'autre, dos à dos. Sans doute un geste à la signification rituelle.
Vous détournant de la frise, vous vous dirigez vers la seule issue visible. Elle mène à un tunnel, au bout duquel vous distinguez finalement une certaine clarté.
*
Vous pénétrez dans une large pièce voûtée allant d'est en ouest. Dans le mur du nord s'ouvrent deux autres couloirs en plus de celui par lequel vous êtes arrivés ; dans le mur du sud, en face de vous, s'ouvrent deux arches.
Les murs sont décorés de centaines de feuilles de métal ; les artistes qui les ont créés ont savamment utilisé l'or et le vert-de-gris pour leur donner les couleurs qu'elles auraient si elles étaient vivantes. Pour autant que vous puissiez en juger, ces feuilles représentent le Frêne du Monde ; un motif qu'il est étrange de trouver si loin du nord...
Votre attention est attirée par une silhouette de métal qui s'approche de vous d'un pas pesant. Elle fait deux fois la taille du plus grand guerrier que vous avez jamais vu et trois pointes acérées ornent sa tête, par ailleurs lisse. À en juger par la manière dont elle brandit sa mace géante, elle a dû être placée ici pour empêcher quiconque d'aller plus loin.
*
- Vous pouvez imiter la posture que vous avez observé sur la frise
- ou attaquer ce guardien.
Au bas du puits règne toujours la froideur de la nuit, bien que le soleil ne soit plus qu'à quelques minutes de son lever. La pièce est humide, mais il n'y a pas d'eau, en-dehors d'une flaque boueuse devant vous.
Trois tunnels s'ouvrent dans le mur du sud. De celui de droite vous parvient le bruit régulier de gouttes d'eau heurtant le sol. Les deux autres sont silencieux.
Vous vous fabriquez des torches à l'aide des morceaux de bois sec que vous trouvez sur les dalles de pierre brisées. Leurs flammes crépitantes fournissent une lumière vacillante, mais elles feront l'affaire. L'éclat soudain alarme un serpent, que vous voyez s'enfuir par le tunnel de gauche.
Vous jetez un dernier coup d'oeil au ciel au-dessus de vous, qui est en train de prendre la couleur de l'azur.
Le Hatuli se dirige vers le tunnel de gauche
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Vous vous avancez prudemment le long du tunnel, à la suite du Hatuli. La clarté grandissante qui filtre depuis le haut du puit ne tarde pas à s'estomper derrière vous. Vous atteignez bientôt une pièce circulaire en brique.
Peinte sur une bande de pierre, une frise élaborée fait le tour de la salle. Elle représente une haute figure métallique portant un heaume à trois pointes. À un endroit, elle est représentée attaquant de minuscules personnages humains et les balayant comme des fêtus avec sa masse d'arme. À un autre, elle détruit des temples, n'en laissant que des débris. Vous ne remarquez qu'un seul endroit où elle s'incline devant des hommes mortels : la scène représente un groupe de prêtres aux bras levés, leurs mains pressées l'une contre l'autre, dos à dos. Sans doute un geste à la signification rituelle.
Vous détournant de la frise, vous vous dirigez vers la seule issue visible. Elle mène à un tunnel, au bout duquel vous distinguez finalement une certaine clarté.
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Vous pénétrez dans une large pièce voûtée allant d'est en ouest. Dans le mur du nord s'ouvrent deux autres couloirs en plus de celui par lequel vous êtes arrivés ; dans le mur du sud, en face de vous, s'ouvrent deux arches.
Les murs sont décorés de centaines de feuilles de métal ; les artistes qui les ont créés ont savamment utilisé l'or et le vert-de-gris pour leur donner les couleurs qu'elles auraient si elles étaient vivantes. Pour autant que vous puissiez en juger, ces feuilles représentent le Frêne du Monde ; un motif qu'il est étrange de trouver si loin du nord...
Votre attention est attirée par une silhouette de métal qui s'approche de vous d'un pas pesant. Elle fait deux fois la taille du plus grand guerrier que vous avez jamais vu et trois pointes acérées ornent sa tête, par ailleurs lisse. À en juger par la manière dont elle brandit sa mace géante, elle a dû être placée ici pour empêcher quiconque d'aller plus loin.
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- Vous pouvez imiter la posture que vous avez observé sur la frise
- ou attaquer ce guardien.