Invoquer le Faltyn dans cette situation n'était pas un mauvais choix, c'était...
Un tintement annonce l'apparition d'un autre Faltyn aux côtés de Milena. Il examine la scène et l'autre Faltyn avec dédain.
"Je veux un objet pour mon aide," dit-il d'un ton hautain. "D'avance, s'il te plaît..."
Après avoir examiné l'inventaire de Milena, il porte son choix sur le briquet d'ambre.
*
Le livre - qui offre pourtant d'habitude de multiples occasions de refuser ou d'éviter de faire quelque chose (même lorsque ça n'est vraiment pas utile) - est ici complètement incohérent et injuste : il n'offre pas la possibilité au magicien de refuser la demande du Faltyn. (Et si le magicien possède la cloche de fer, c'est cet objet-là que demande le Faltyn.)
Ça n'a pas de sens : sauf dans les situations où l'aide du Faltyn est indispensable, le magicien est normalement libre de rejeter le prix demandé.
Je vous propose donc de faire prévaloir le bon sens sur le texte et de laisser Milena refuser la demande du Faltyn si elle le souhaite.
Un tintement annonce l'apparition d'un autre Faltyn aux côtés de Milena. Il examine la scène et l'autre Faltyn avec dédain.
"Je veux un objet pour mon aide," dit-il d'un ton hautain. "D'avance, s'il te plaît..."
Après avoir examiné l'inventaire de Milena, il porte son choix sur le briquet d'ambre.
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Le livre - qui offre pourtant d'habitude de multiples occasions de refuser ou d'éviter de faire quelque chose (même lorsque ça n'est vraiment pas utile) - est ici complètement incohérent et injuste : il n'offre pas la possibilité au magicien de refuser la demande du Faltyn. (Et si le magicien possède la cloche de fer, c'est cet objet-là que demande le Faltyn.)
Ça n'a pas de sens : sauf dans les situations où l'aide du Faltyn est indispensable, le magicien est normalement libre de rejeter le prix demandé.
Je vous propose donc de faire prévaloir le bon sens sur le texte et de laisser Milena refuser la demande du Faltyn si elle le souhaite.