Mes chers concitoyens,
L'heure est grave. Parce que.
C'est donc le cœur lourd que je me dois de lever un nouvel impôt. Alors, oui, certes, dans l'année écoulée, j'ai déjà décrété un impôt exceptionnel pour financer l'armée. Et un autre pour renouveler son équipement. Et un troisième pour la mise à jour de nos infrastructures. Et j'ai taxé tous les échanges commerciaux avec les pays voisins.
Et... Euh... Vous avez vu mon aigle ? Il est pas trop cool mon aigle ? C'est pas comme tous ces animaux qui marchent des autres pays ! Et vous avez vu le mec avec une moustache là-bas qui fait du jetpack ? Du jetpack ! C'est pas trop mega ultra cool ?
Et puis de toute façon, si vous êtes pas contents, vous pouvez toujours traverser la frontière pour aller chez les cannibales saxons ou les esclavagistes russes.
Les cartes ne rapportant pas de points, contrairement aux ressources (et à ce qu'elles permettent d'acheter), c'est très très fort en fin de jeu. Après, en première partie, c'est pas une faction évidente à prendre en main (contrairement par exemple à la Pologne, dont le plan de jeu par défaut est limpide : rencontre, rencontre, rencontre).
L'heure est grave. Parce que.
C'est donc le cœur lourd que je me dois de lever un nouvel impôt. Alors, oui, certes, dans l'année écoulée, j'ai déjà décrété un impôt exceptionnel pour financer l'armée. Et un autre pour renouveler son équipement. Et un troisième pour la mise à jour de nos infrastructures. Et j'ai taxé tous les échanges commerciaux avec les pays voisins.
Et... Euh... Vous avez vu mon aigle ? Il est pas trop cool mon aigle ? C'est pas comme tous ces animaux qui marchent des autres pays ! Et vous avez vu le mec avec une moustache là-bas qui fait du jetpack ? Du jetpack ! C'est pas trop mega ultra cool ?
Et puis de toute façon, si vous êtes pas contents, vous pouvez toujours traverser la frontière pour aller chez les cannibales saxons ou les esclavagistes russes.
Albatur a écrit :Le pouvoir ou faut échanger une carte vs une ressource, super nul vu que ce perso commence avec zéro carte.
Les cartes ne rapportant pas de points, contrairement aux ressources (et à ce qu'elles permettent d'acheter), c'est très très fort en fin de jeu. Après, en première partie, c'est pas une faction évidente à prendre en main (contrairement par exemple à la Pologne, dont le plan de jeu par défaut est limpide : rencontre, rencontre, rencontre).