20/01/2018, 11:41
(Modification du message : 21/01/2018, 15:39 par Voyageur Solitaire.)
Un opus souvent vu comme un coup de frein inattendu, un gros coup de mou ou du moins, une perte de vitesse. Pas d'accord (enfin, pas tout à fait...).
Alors voilà, notre LS a lu et relu le livre du Magnakaï et au bout d'un moment, ça fait mal aux yeux. Sortir prendre un peu l'air lui ferait du bien, pourquoi pas un petit séjour bucolique dans les vertes prairies de la Storn ? En plus, on pourrait y trouver un fabuleux joyau qui permettrait peut-être, un jour, de faire renaître l'ordre kaï. Seul problème : les habitants du coin sont plus occupés à se taper sur la gueule qu'à cultiver leurs champs...
On a donc un voyage, une aventure, sympathique, avec des péripéties haletantes et des moments plus calmes où l'on peut visiter, manger local et faire ses courses. C'est vrai qu'après le rythme épique et souvent soutenu du premier cycle, ça ralentit un peu... Mais il y a du bon, ne serait-ce que la navigation sur le fleuve avec le sympathique capitaine et sa compagnie de mercenaires, la rencontre avec Roark, des paysages attrayants, de nombreuses auberges différentes... Avantage intéressant : on peut désormais utiliser un arc.
C'est vrai, le rythme n'est pas le même. Et justement, c'est là le coup de maître de Papa Dever : ce changement de rythme correspond à celui de son héros.
Dans le premier cycle, on est complètement assujetti aux évènements, on est obligé, contraint, on n'a pas le choix. Faut sauver le pays, faut aller récupérer Vonotar, faut se grouiller, à peine le temps de sauter de selle ou de traîneau pour faire pipi...
Là, c'est différent. Le royaume est sauvé, les Maîtres des Ténèbres sont occupés à se taper dessus, LS est installé, posé. Ce voyage, cette quête, c'est lui qui l'a décidé, c'est lui qui gère son agenda en quelque sorte. Le rythme effréné du premier cycle venait de l'urgence, du temps qui était compté, d'une situation catastrophique. Là, rien de tel, pas d'urgence à l'horizon immédiat, on peut y aller à son rythme.
Un changement qui peut surprendre donc mais qui s'explique.
Alors voilà, notre LS a lu et relu le livre du Magnakaï et au bout d'un moment, ça fait mal aux yeux. Sortir prendre un peu l'air lui ferait du bien, pourquoi pas un petit séjour bucolique dans les vertes prairies de la Storn ? En plus, on pourrait y trouver un fabuleux joyau qui permettrait peut-être, un jour, de faire renaître l'ordre kaï. Seul problème : les habitants du coin sont plus occupés à se taper sur la gueule qu'à cultiver leurs champs...
On a donc un voyage, une aventure, sympathique, avec des péripéties haletantes et des moments plus calmes où l'on peut visiter, manger local et faire ses courses. C'est vrai qu'après le rythme épique et souvent soutenu du premier cycle, ça ralentit un peu... Mais il y a du bon, ne serait-ce que la navigation sur le fleuve avec le sympathique capitaine et sa compagnie de mercenaires, la rencontre avec Roark, des paysages attrayants, de nombreuses auberges différentes... Avantage intéressant : on peut désormais utiliser un arc.
C'est vrai, le rythme n'est pas le même. Et justement, c'est là le coup de maître de Papa Dever : ce changement de rythme correspond à celui de son héros.
Dans le premier cycle, on est complètement assujetti aux évènements, on est obligé, contraint, on n'a pas le choix. Faut sauver le pays, faut aller récupérer Vonotar, faut se grouiller, à peine le temps de sauter de selle ou de traîneau pour faire pipi...
Là, c'est différent. Le royaume est sauvé, les Maîtres des Ténèbres sont occupés à se taper dessus, LS est installé, posé. Ce voyage, cette quête, c'est lui qui l'a décidé, c'est lui qui gère son agenda en quelque sorte. Le rythme effréné du premier cycle venait de l'urgence, du temps qui était compté, d'une situation catastrophique. Là, rien de tel, pas d'urgence à l'horizon immédiat, on peut y aller à son rythme.
Un changement qui peut surprendre donc mais qui s'explique.
Anywhere out of the world