04/12/2017, 01:54
[Les choix les plus logiques vous ont bien souvent sauvé la mise pourtant!]
La nuit est déjà tombée depuis belle lurette (le saviez-vous? "Lurette" est un mot apparu au XIXe siècle, formé à partir du terme "hurette": petite heure). Fort heureusement, et malgré de multiples grèves, les transports en commun parisiens et alentours fontionnent tardivement. En revanche, le retour risque d'être plus hasardeux puisque la grotte préhistorique est située à Sainte-Auge, à près de 45 minutes de Paris. Qu'importe. Après avoir avalé une boîte de conserve froide et enfilé une polaire chaude, vous vous élancez dans la nuit à la recherche de la belle. Le trajet vous paraît interminable, mais se déroule finalement bien si l'on excepte les ronflements intempestifs de votre voisin de train francilien. Une fois arrivé à Sainte-Auge, la direction de la grotte est immédiatement indiquée à la sortie de la gare, ce qui n'a rien d'étonnant, car ce doit être la seule attraction locale. Vous en prenez donc le chemin, à pied et en chantant: "C'est une belle journée", pour exorciser une angoisse grandissante. Vu le thème réel de la chanson, ce n'est peut-être pas une bonne idée. Quoi qu'il en soit, les 62 inscriptions sur les pans de murs ayant été faites la nuit, vous avez certainement bien fait de pointer votre nez ici le jour tombé. Quelque 4 minutes 10 plus tard, un écriteau vous indique que vous êtes pratiquement arrivé à la grotte préhistorique. Les abords de celle-ci sont protégés par un grillage, et vous apercevez à proximité un maître-chien et son chérubin, un ravissant rottweiller. La surveillance a probablement dû être mise en place après les profanations. Quelle attitude adopter?
Essayez-vous de contourner le maître-chien et trouver une entrée un peu plus loin?
Tentez-vous de parlementer pour qu'il vous laisse observer l'intérieur de la grotte?
La nuit est déjà tombée depuis belle lurette (le saviez-vous? "Lurette" est un mot apparu au XIXe siècle, formé à partir du terme "hurette": petite heure). Fort heureusement, et malgré de multiples grèves, les transports en commun parisiens et alentours fontionnent tardivement. En revanche, le retour risque d'être plus hasardeux puisque la grotte préhistorique est située à Sainte-Auge, à près de 45 minutes de Paris. Qu'importe. Après avoir avalé une boîte de conserve froide et enfilé une polaire chaude, vous vous élancez dans la nuit à la recherche de la belle. Le trajet vous paraît interminable, mais se déroule finalement bien si l'on excepte les ronflements intempestifs de votre voisin de train francilien. Une fois arrivé à Sainte-Auge, la direction de la grotte est immédiatement indiquée à la sortie de la gare, ce qui n'a rien d'étonnant, car ce doit être la seule attraction locale. Vous en prenez donc le chemin, à pied et en chantant: "C'est une belle journée", pour exorciser une angoisse grandissante. Vu le thème réel de la chanson, ce n'est peut-être pas une bonne idée. Quoi qu'il en soit, les 62 inscriptions sur les pans de murs ayant été faites la nuit, vous avez certainement bien fait de pointer votre nez ici le jour tombé. Quelque 4 minutes 10 plus tard, un écriteau vous indique que vous êtes pratiquement arrivé à la grotte préhistorique. Les abords de celle-ci sont protégés par un grillage, et vous apercevez à proximité un maître-chien et son chérubin, un ravissant rottweiller. La surveillance a probablement dû être mise en place après les profanations. Quelle attitude adopter?
Essayez-vous de contourner le maître-chien et trouver une entrée un peu plus loin?
Tentez-vous de parlementer pour qu'il vous laisse observer l'intérieur de la grotte?