[Ici il s'agit d'un choix qui n'en est pas un.]
Une fois libéré de votre carcan, vous vous mettez tout de suite debout. L'homme qui vous fait face, un molosse chauve au teint improbable et gris, s'écrit: "Mais... vous n'êtes pas une célébrité!" "Effectivement", lui répondez-vous et de votre air le plus mutin, vous tentez d'expliquer à l'homme qui vous fait face la raison abracadabrantesque pour laquelle vous étiez dans votre cachette. Le gâteau, l'ami imaginaire, tout ça, tout ça. Le gardien vous scrute, incrédule. Au bout de quelques secondes, ne vous laissant pas le temps de faire valoir vos talents d'acteur, il vous saisit par les épaules et vous soulève en criant: "C'est quoi cette merde?" Vexé qu'il ne manifeste pas davantage de politesse à votre apparence physique, vous lui plantez le doigt dans l’œil, ce qui lui fait très mal. Il vous lâche immédiatement. Il s'agit de prendre l'avantage rapidement. Vous enchaînez en tentant de reproduire la prise dite du clitoris infernal (que vous avez vu effectuer au marché traditionnel en Nouvelle-Gouinée) et immobilisez ainsi votre agresseur. Il se débat vigoureusement mais malgré sa puissante musculature, vous prenez le dessus... La simple idée que votre star puisse se trouver en ces lieux et que vous faites face à son geôlier décuple vos forces. Vous vous saisissez du flash-ball que l'homme porte vissé à son ceinturon et lui videz hystériquement le chargeur sur tous ses shakras. Il tombe sur le ventre, un sourire béat aux lèvres. L'homme n'étant qu'assommé, il vous faut le ligoter à prestement. N'ayant pas de corde sous la main, vous le saucissonnez avec du petit scotch de bureau (ce qui vous prend un bon bout de temps), et lui fourrez l'une de vos chaussettes dans la bouche. Ce qui vous rassure, c'est que s'il y avait eu par malheur d'autres gardiens, ils auraient été alertés par le bruit du scotch. Désormais libre de vos mouvements, vous pouvez inspecter le lieu où vous vous trouvez.
Vous vous trouvez dans une pièce un peu exigüe, sans mobilier à l'exception du bureau où se trouvait le scotch que vous avez pu saisir. Face à cette table, un pan de mur est entièrement recouvert d'écrans de contrôle, et vous supposez qu'ils dépendent de l'imposant panneau aux multiples boutons qui se trouve sur le bureau. On se croirait face à la figure d'un adolescent. Quelques cannettes de bières vides trônent dans la poubelle, ainsi qu'un exemplaire du magazine pornographique Vibrez. Côté gauche, une mystérieuse porte vous fait de l’œil, tandis qu'à droite, un couloir ne semble attendre que vous. Avant de faire votre choix, et encore un peu étourdi par votre lutte, vous prenez quelques minutes pour regarder plus attentivement ce qui est retransmis sur les écrans. Ce que vous voyez vous fige la colonne vertébrale.
[La suite... dans la 4e partie!
Cette 3e partie était plus courte que je ne le pensais, en fait il y avait pas mal de chemins parallèles permettant (ou non!) d'arriver jusqu'ici, donc moins de linéarité que pour les passages du studio Mégot et de la Nouvelle-Gouinée.]
Une fois libéré de votre carcan, vous vous mettez tout de suite debout. L'homme qui vous fait face, un molosse chauve au teint improbable et gris, s'écrit: "Mais... vous n'êtes pas une célébrité!" "Effectivement", lui répondez-vous et de votre air le plus mutin, vous tentez d'expliquer à l'homme qui vous fait face la raison abracadabrantesque pour laquelle vous étiez dans votre cachette. Le gâteau, l'ami imaginaire, tout ça, tout ça. Le gardien vous scrute, incrédule. Au bout de quelques secondes, ne vous laissant pas le temps de faire valoir vos talents d'acteur, il vous saisit par les épaules et vous soulève en criant: "C'est quoi cette merde?" Vexé qu'il ne manifeste pas davantage de politesse à votre apparence physique, vous lui plantez le doigt dans l’œil, ce qui lui fait très mal. Il vous lâche immédiatement. Il s'agit de prendre l'avantage rapidement. Vous enchaînez en tentant de reproduire la prise dite du clitoris infernal (que vous avez vu effectuer au marché traditionnel en Nouvelle-Gouinée) et immobilisez ainsi votre agresseur. Il se débat vigoureusement mais malgré sa puissante musculature, vous prenez le dessus... La simple idée que votre star puisse se trouver en ces lieux et que vous faites face à son geôlier décuple vos forces. Vous vous saisissez du flash-ball que l'homme porte vissé à son ceinturon et lui videz hystériquement le chargeur sur tous ses shakras. Il tombe sur le ventre, un sourire béat aux lèvres. L'homme n'étant qu'assommé, il vous faut le ligoter à prestement. N'ayant pas de corde sous la main, vous le saucissonnez avec du petit scotch de bureau (ce qui vous prend un bon bout de temps), et lui fourrez l'une de vos chaussettes dans la bouche. Ce qui vous rassure, c'est que s'il y avait eu par malheur d'autres gardiens, ils auraient été alertés par le bruit du scotch. Désormais libre de vos mouvements, vous pouvez inspecter le lieu où vous vous trouvez.
Vous vous trouvez dans une pièce un peu exigüe, sans mobilier à l'exception du bureau où se trouvait le scotch que vous avez pu saisir. Face à cette table, un pan de mur est entièrement recouvert d'écrans de contrôle, et vous supposez qu'ils dépendent de l'imposant panneau aux multiples boutons qui se trouve sur le bureau. On se croirait face à la figure d'un adolescent. Quelques cannettes de bières vides trônent dans la poubelle, ainsi qu'un exemplaire du magazine pornographique Vibrez. Côté gauche, une mystérieuse porte vous fait de l’œil, tandis qu'à droite, un couloir ne semble attendre que vous. Avant de faire votre choix, et encore un peu étourdi par votre lutte, vous prenez quelques minutes pour regarder plus attentivement ce qui est retransmis sur les écrans. Ce que vous voyez vous fige la colonne vertébrale.
[La suite... dans la 4e partie!
Cette 3e partie était plus courte que je ne le pensais, en fait il y avait pas mal de chemins parallèles permettant (ou non!) d'arriver jusqu'ici, donc moins de linéarité que pour les passages du studio Mégot et de la Nouvelle-Gouinée.]