03/12/2013, 09:44
Après réflexion, je pense qu’on abandonne trop volontiers le champ de bataille à Khorne.
Les autres joueurs ont tendance à se focaliser sur leurs adorateurs, pour accroître le plus possible leurs chances de marquer des points et d’avancer leur roue, en priant pour que Khorne ne fasse pas trop de dégâts dans leurs rangs. Or, ainsi, les guerriers de Khorne demeurent dans les régions où ils se trouvent et peuvent reprendre leur œuvre de destruction à chaque tour.
Si chacun des autres dieux remplaçait un adorateur par un guerrier (ils peuvent même s’entendre et se partager la tâche, chacun s’occupant d’une ou deux régions), il aurait une chance sur deux d’éliminer un guerrier de Khorne, étant donné leur vulnérabilité. Or, ils coûtent relativement cher à invoquer, cela limiterait donc le nombre de régions dans lesquelles le dieu de la guerre fait des victimes, et donc le nombre de jetons de menace qu’il engrange, freinant ainsi l’avancement de sa roue.
Ça ralentit la corruption mais la roue étant prioritaire, c’est un mal pour un bien. On risque juste de franchir le septième tour, du coup (on ne l’a jamais atteint probablement parce qu’on se focalise trop sur nos propres objectifs).
Les autres joueurs ont tendance à se focaliser sur leurs adorateurs, pour accroître le plus possible leurs chances de marquer des points et d’avancer leur roue, en priant pour que Khorne ne fasse pas trop de dégâts dans leurs rangs. Or, ainsi, les guerriers de Khorne demeurent dans les régions où ils se trouvent et peuvent reprendre leur œuvre de destruction à chaque tour.
Si chacun des autres dieux remplaçait un adorateur par un guerrier (ils peuvent même s’entendre et se partager la tâche, chacun s’occupant d’une ou deux régions), il aurait une chance sur deux d’éliminer un guerrier de Khorne, étant donné leur vulnérabilité. Or, ils coûtent relativement cher à invoquer, cela limiterait donc le nombre de régions dans lesquelles le dieu de la guerre fait des victimes, et donc le nombre de jetons de menace qu’il engrange, freinant ainsi l’avancement de sa roue.
Ça ralentit la corruption mais la roue étant prioritaire, c’est un mal pour un bien. On risque juste de franchir le septième tour, du coup (on ne l’a jamais atteint probablement parce qu’on se focalise trop sur nos propres objectifs).