Après deux parties de Zombies et une de River Dragons, nous avons rejoué aux "Chevaliers de la Table Ronde" (le jeu coopératif où il y a normalement un traître mais on a déjà bien assez de mal sans).
Très vite, nous avons pu confirmer nos observations précédentes : les femmes, c'est que des emmerdes.
Nous étions cinq preux chevaliers (j'était le roi Arthur et, conformément à ce rôle, je n'ai presque jamais décollé les fesses de mon trône à la Table Ronde). Tout semblait bien parti : Sire Jehan allait remporter le tournoi contre le Chevalier Noir (lequel n'avait pas pris la peine de se déplacer) et Sire Salla paraissait en mesure de l'emporter contre Lancelot (grâce à l'aide répétée de Merlin).
Et puis bam ! Guenièvre débarque. Tous les chevaliers doivent rentrer au bercail, les quêtes individuelles (Lancelot et Chevalier Noir) sont abandonnées. Nous passions d'un départ très prometteur à une situation fort préoccupante.
Nous avons fait face avec courage, nous mortifiant dans notre chair, poursuivant le Graal sans relâche, pourfendant les Saxons à tour de bras, négligeant complètement les invasions pictes (on ne peut pas être partout), sabotant des catapultes, recherchant Excalibur...
Vers la fin, alors que nos efforts nous avaient laissé presque exsangues, cette garce de Morgane a essayé de nous exterminer, mais Sire Skarn l'a mise en déroute à grands coups d'Excalibur dans les fesses.
Victoire ! Huit épées blanches contre quatre épées noires, avec huit ou neuf catapultes devant les murailles. Je ne sais pas si nous sommes prêts pour autant à tenter le jeu avec un traître : avant ou après d'être démasqué, il disposerait de suffisamment de façons de saboter les chevaliers loyaux pour qu'il soit très difficile de gagner.
Très vite, nous avons pu confirmer nos observations précédentes : les femmes, c'est que des emmerdes.
Nous étions cinq preux chevaliers (j'était le roi Arthur et, conformément à ce rôle, je n'ai presque jamais décollé les fesses de mon trône à la Table Ronde). Tout semblait bien parti : Sire Jehan allait remporter le tournoi contre le Chevalier Noir (lequel n'avait pas pris la peine de se déplacer) et Sire Salla paraissait en mesure de l'emporter contre Lancelot (grâce à l'aide répétée de Merlin).
Et puis bam ! Guenièvre débarque. Tous les chevaliers doivent rentrer au bercail, les quêtes individuelles (Lancelot et Chevalier Noir) sont abandonnées. Nous passions d'un départ très prometteur à une situation fort préoccupante.
Nous avons fait face avec courage, nous mortifiant dans notre chair, poursuivant le Graal sans relâche, pourfendant les Saxons à tour de bras, négligeant complètement les invasions pictes (on ne peut pas être partout), sabotant des catapultes, recherchant Excalibur...
Vers la fin, alors que nos efforts nous avaient laissé presque exsangues, cette garce de Morgane a essayé de nous exterminer, mais Sire Skarn l'a mise en déroute à grands coups d'Excalibur dans les fesses.
Victoire ! Huit épées blanches contre quatre épées noires, avec huit ou neuf catapultes devant les murailles. Je ne sais pas si nous sommes prêts pour autant à tenter le jeu avec un traître : avant ou après d'être démasqué, il disposerait de suffisamment de façons de saboter les chevaliers loyaux pour qu'il soit très difficile de gagner.