On peut tenter un truc. Si je vous demande de me citer trois avh qu'il « faut » avoir lues, vous pensez à quoi, et pourquoi ? Un avis purement personnel, subjectif, avec votre cœur, vos tripes, sans tenter de deviner ce qu'un hypothétique nouvel arrivant standard qui n'existe de toute façon pas pourrait aimer ou pas.
Si je m'essaye à l'exercice, ça donne quelque chose comme :
Labyrinthe : Un tournant dans le monde des avh, avec une façon complètement différente d'aborder la narration, la construction du récit, et des thématiques et des enjeux à cent lieux de la fantasy ou de la « fantasy avec des boulons » (pour reprendre l'expression de Pratchett). Quelqu'un l'a comparé à la La Créature venue du Chaos voilà peu en terme de destruction des codes, et ce n'est pas totalement faux, même s'il va beaucoup plus loin sur certains points.
Le rêve d'Exalie : En LVH/AVH, le format court est souvent associé à l'idée d'ultra-linéarité plus ou moins bien déguisée. Un certain nombre de titres ont prouvé le contraire, mais je voulais en choisir un qui sorte vraiment du lot, où, en le lisant, et surtout en le relisant, tu n'as pas l'impression qu'il fasse « seulement » 50 sections, et qui parvienne malgré cela à développer son propre univers, sa propre histoire.
Quand souffle la tempête : La première avh avec une « génération procédurale » (des éléments importants de jeu changeant à chaque nouvelle partie) un peu poussée, un procédé qui continue à me fasciner quand il est bien fait et bien employé.
Si je m'essaye à l'exercice, ça donne quelque chose comme :
Labyrinthe : Un tournant dans le monde des avh, avec une façon complètement différente d'aborder la narration, la construction du récit, et des thématiques et des enjeux à cent lieux de la fantasy ou de la « fantasy avec des boulons » (pour reprendre l'expression de Pratchett). Quelqu'un l'a comparé à la La Créature venue du Chaos voilà peu en terme de destruction des codes, et ce n'est pas totalement faux, même s'il va beaucoup plus loin sur certains points.
Le rêve d'Exalie : En LVH/AVH, le format court est souvent associé à l'idée d'ultra-linéarité plus ou moins bien déguisée. Un certain nombre de titres ont prouvé le contraire, mais je voulais en choisir un qui sorte vraiment du lot, où, en le lisant, et surtout en le relisant, tu n'as pas l'impression qu'il fasse « seulement » 50 sections, et qui parvienne malgré cela à développer son propre univers, sa propre histoire.
Quand souffle la tempête : La première avh avec une « génération procédurale » (des éléments importants de jeu changeant à chaque nouvelle partie) un peu poussée, un procédé qui continue à me fasciner quand il est bien fait et bien employé.